Le comportement de Bongo Ondimba Ali est singulier, il a, à la fois, la corne d'abondance des clowneries ainsi que l'abondance des bêtises. A moins de programmer un attentat terroriste au Gabon pour s'attirer les sympathies des grands de ce monde on se demande pourquoi, à chaque fois qu'une monstruosité de ce genre se perpétue quelque part dans le monde, il s' y invite pour aller faire le clown dans un défilé qui, de loin ou de prêt ne le concerne pas.
Un pitre à Tunis |
Dans son pays adoptif, le Gabon, il s'illustre par une guerre à la liberté contre des élèves et des citoyens qui marchent pour revendiquer leur droits. C'est un adepte du terrorisme d'Etat qui met en œuvre tout pour terroriser et violenter son peuple. mais de quelles libertés se prévaut-il pour aller marcher à Tunis?
Aucun des chefs d'Etats du Cameroun, de l'Algérie, du Mali, de la Lybie, du Niger, du Nigéria, du Kenya ou de la Somalie pour ne citer que ceux-là ne se sont illustrés par des comportements aussi ostentatoires pour exprimer une réalité qui les touche pourtant directement. Il est le seul chef d'Etat africain, en dehors de celui du pays hôte, à s'être déplacé. Non pas par ce qu'ils ne sont pas sensibles à cette odieuse monstruosité, mais simplement parce qu'ils savent rationnaliser leurs actes par rapport aux nécessités nationales. les voyages de cet homme coûtent des milliards au contribuable gabonais. Un avion acheté avec l'argent des gabonais est saisie en France à cause de l'appétit gargantuesque de cette famille maudite.
Il dort à l'ONU, c'est ce qu'il sait faire en plus des crimes rituels et la pédophilie |
Ce dictateur est coutumier des pitreries en tout genre. ceci est fait à dessein pour chaque fois jeter l'opprobre et la raillerie à l'endroit des gabonais et du Gabon. Son gout immodéré de la gloriole n'a d'égal que son infantilisme politique et les besoins primaires d'un attardé mental. Ali est un adulescent: un enfant dans un corps d'adulte. On se souvient encore de son voyage à New-York ou il a passé son temps à dormir en plein sommet de l'ONU. Les achats inopportuns, les choix économiques douteux, le viol des dispositions constitutionnelles, le viol de la loi sur les marchés publiques, les investissements opérés mais jamais réalisés sont à la base du racket économique de plus de 18000 milliards de francs cfa organisé par son régime et sa famille à travers des mécanismes de prédation comme Delta-Synergie. Tout est mis en œuvre pour son enrichissement personnel.
Un m'as-tu-vu légendaire pour compenser son goût de gloriole |
Que dire de son déplacement à la coupe du Monde au Brésil? Et encore récemment à la marche républicaine de Paris?
Les crimes aussi bien financiers, humains que constitutionnels des Bongo-Ondimba contre le Gabon et les gabonais devraient en d'autres cieux pousser une armée républicaine digne de ce nom à mettre aux arrêts ces criminels.
Mais au lieu de ça, impitoyablement cette armée réduit au silence tous ceux qui dénoncent cette haute trahison.
Ceux qui marchent à côté de ce criminel, ils doivent savoir que celui qui est à côté d'eux est responsable de:
Ceux qui marchent à côté de ce criminel, ils doivent savoir que celui qui est à côté d'eux est responsable de:
- répression des marches des élèves et d'étudiants en
violation des libertés publiques ;
-Faits et voies de faits de crimes rituels et protection des auteurs et commanditaires tapis au sein du régime Bongo Ondimba Ali;
- instillation de la haine contre des citoyens gabonais de l’opposition, la haine
contre les citoyens des Etats dont la presse rapporte fidèlement les évènements;
- atteinte à l’expression des opinions et
des libertés individuelles;
- commanditaire
de la disparition de 331 gabonais en septembre 2009;
-Confiscation
et Instrumentation de la justice aux fins de la criminalisation et la judiciarisation
des manifestations sociales syndicales et politiques;
-Faits et voies de faits de crimes rituels et protection des auteurs et commanditaires tapis au sein du régime Bongo Ondimba Ali;
- abus de pouvoir excessif,
- confiscation des institutions
de la république,
- utilisation des médias d’Etat aux fins d’y instiller la haine
ethnique,
La milice prétorienne du Régime armée jusqu'aux dents prête à fondre sur le peuple désarmé |
- menace
contre la paix au Gabon :
- répression des marches de l’opposition en
violation des libertés publiques ;
- atteinte à l’expression des opinions politiques et religieuses et
des libertés;
Coup d’état
militaire, électoral et violation des règles constitutionnelles; violation de serment constitutionnel et haute
trahison;
- assassinats de
57 citoyens gabonais en utilisant des moyens d’Etat en septembre 2009 pour acceder au pouvoir
- Assassinat et
complicité d’assassinat de Bruno Mboulou Beka le 20/12/2014
- Commanditaire et
complicité de séquestration arbitraire, d’enlèvement, de détention de deux cent
gabonais lors des évènements du 15/08/2011, du 20/12/2014
- complicité de
menaces de mort,
- complicité de
violation de domicile,
- complicité de
dégradation et de destruction des biens privés et publics,
- Complicité de
mutilation, et d’atteinte à l’intégrité des cadavres
- Association de
malfaiteurs au aux fins de la mise en place des escadrons de la mort
- Constitution
de groupes militaires et paramilitaires aux fins d’y perpétrer des actes
d’assassinat et crime contre l’humanité
- Violation des
accords internationaux sur la bonne gouvernance et des droits de l’homme
- Mise en place
d’une liste des personnes à assassiner par les escadrons de la mort
- Mise en place
des lois iniques violant la liberté des gabonais.
Ali Bongo Ondimba,
en sa qualité de président proclamé par sa belle-mère, a commis de son propre chef, des abus
d’autorité visant à délégitimer les gabonais luttant contre l'imposture de son
mandat, contre la dictature qu'il a imposé aux gabonais et à légitimer, voire à
légaliser, l’usage de la violence du terrorisme d’état contre des civils en
raison de leur appartenance à l’opposition
Assassinat lâche de Mboulou Beka le 20/12/2014 |
Pour tous ces crimes Bongo-Ondimba Ali et ses complices seront jugés par le tribunal du peuple
Les Gabonais ne peuvent plus se permettre de parader dans les rues de Libreville pour défendre la liberté d’expression et dénoncer les crimes multiformes sans que les milices prétoriennes d’Ali Bongo ne leur tirent dessus.
Si nous avions une armée républicaine et digne pour défendre le peuple elle nous aurait déjà libéré de cette famille de prédateurs. Mais c'est une armée privée qui est payée et entretenue par l'argent du contribuable au bénéfice de cette famille et de son régime criminel. Elle ne connait que deux formes de lutte le massacre contre des populations désarmées et la fuite devant des personnes en arme.
Le peuple a comprit, pour se libérer il nous faut des armes pour lutter à armes égales.
Personne n'a le droit de sacrifier la vie d'un seul gabonais pour les besoins du pouvoir personnel. Depuis l'usurpation du pouvoir par ce criminel, outre 82 port-gentillais et 331 portés disparus en septembre 2009, il a assassiné Mboulou Beka et bien d'autres, aussi bien pour les crimes rituels que pour se débarrasser d'adversaires politiques et économiques.
C'est donc un devoir d'honneur, en tout cas le plus sacré, pour tout militaire qui a prêté le serment de défendre son peuple et son pays, pour tout gabonais avec tous les moyens en sa possession ou à acquérir, de mettre fin à l'imposture criminelle que représente cette famille et ce régime. Chassons les ténèbres, chassons le régime criminel des Bongo-Ondimba PDG émergent.
La lutte continue jusqu'à la victoire
Jean NDOUANIS
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