mardi 30 juillet 2013

Sacrifice des jeunes gabonais par l’alcool, la débauche, la drogue, le viol, la prostitution et les crimes rituels

Émergence 2025

Omar Bongo avait dit «La jeunesse est sacrée » mais finalement c’était pour mieux la sacrifier. De tous les systèmes mis en place par Bongo pour détruire tout esprit de vigilance et de revendication des gabonais, celui de l’avilissement par l’alcool, la cigarette et toute sortes de drogues, est sans nul doute celui qui a été le plus efficace. La capacité de production des industries de l’alcool (importateurs compris) au Gabon à été multiplié par dix huit et du tabac par vingt cinq en quarante ans de régime. Aujourd’hui en terme pratique, cette industrie produit par mois 38 litres d’alcool par habitant, et trois paquets de cigarette par jour par habitant. Quant aux drogues douces marijuana et autres hallucinogènes, elles sont cultivées et vendues librement. Les drogues dures comme l’héroïne, la cocaïne et autres, le Gabon est un

Des jeunes gabonais instrumentalisés pour servir
la propagande  d'un système criminel érigé en Etat
centre important de consommation et de transit vers d’autres pays. Les diplomates du régime utilisent leurs statuts diplomatiques et leurs passeports rouges pour convoyer celle-ci vers l’Europe. Dans ce pays le paquet de cigarette coûte moins qu’un kilo de riz, la bouteille de bière de 65 cl coûte trois fois moins qu’un litre d’eau minérale locale. Quatre fois moins qu’un litre de lait et deux fois moins qu’un soda. L’alcool frelaté est fabriqué en toute impunité et vendu au vu et au su de tous. L’importation des liqueurs se fait sans le moindre contrôle par la filière des réseaux maffieux de la Guinée équatoriale et du cameroun. Quand ce n’est pas directement des pays européens qui vendent dans cette autocratie des liqueurs aux taux d’alcool interdits chez eux. Bref, il est plus facile de se droguer, de consommer de l’alcool ou de fumer que de manger au Gabon.
Une vue de salle de classe au Gabon:
La conséquence de prédation des richesses
gabonaises par le régime Ali Bongo ondimba-PDG
Voila ce que Ali Bongo Ondimba fait des enfants gabonais
 Ce qui est beaucoup plus grave c’est que la consommation du tabac (l’ex épouse de Bongo détient le monopole exclusif d’importation) et d’alcool est encouragée chez les plus jeunes. Des enfants de moins de dix ans fument librement et sont admis dans les bars et bistrots dans lesquels ils consomment l’alcool sans restriction. Et que dire des foyers d’établissements scolaires où l’on vend de l’alcool ? Des débits de boissons sont implantés à proximité des établissements scolaires quand ce n’est pas carrément dans des écoles, avec la bénédiction du chef d’établissement qui, lui aussi, a sa couverture dans les hautes sphères du pouvoir. Plusieurs méthodes d’encouragement à la consommation de la drogue sont également en vigueur dans les établissements scolaires. L’un d’eux consiste à distribuer des bonbons drogués aux enfants d’écoles primaires et des lycées. Quand ceux-ci deviennent des accros ils rentrent dans la danse et deviennent soit des dealers, des voleurs ou des bandits de grand chemin.
La délinquance juvénile est la conséquence de l’inexistence d’une politique de la jeunesse. Le système Bongo-PDG a sacrifié la jeunesse gabonaise sur l’hôtel du profit et de l’égocentrisme. Aucune structure de canalisation de la jeunesse par le sport, par les activités culturelles, par les activités ludiques, par les voyages, par les actes de culture civique etc n’existent de façon tangible au Gabon. Chaque jeune est embrigadé et instrumenté pour servir la cause du système Bongo-PDG dans les actes de sabotage de l’opposition.

Pendant le simulacre électoral, Les jeunes sont payés, drogués et armés par le système Bongo-PDG. Il installe avant chaque scrutin une insécurité générale grâce à ces jeunes drogués. Les militants de l’opposition sont tabassés et humiliés par eux. L’insécurité est telle que, en cette période, nul n’ose s’aventurer dehors même pas pour aller voter. En période «creuse» ces jeunes se livrent à leur jeu favori «le pacte de la mort» : jeu ignoble ou les jeunes se lancent des défis du «qui boira le plus d’alcool avant de s’écrouler dans un coma éthylique ». Bien attendu pour avoir cet argent, ils se livrent à des larcins sur la population et sur les commerçants.
La spécialité du régime:assassiner des gabonais
pour prélever leurs organes sexuels
Ces jeunes sont totalement désœuvrés et quittent l’école très jeune. Ils sont les victimes du système éducatif totalement galvaudé. Ils ont été rejetés après le CM2, pour n’avoir pas réussi au « concours d’entrée en sixième » qui n’a aucune justification morale ou scientifique ou sociale.  Les parents, n’ayant pas les moyens pour payer des études dans le circuit des établissements privés, ni même pour subvenir à leurs besoins, les abandonnent à eux-mêmes. Ils deviennent des enfants de la rue. Aucune structure de réinsertion n’est prévue pour eux. Dés qu’ils quittent l’école, ils entrent dans les circuits de la petite délinquance, ensuite la grande délinquance (vol de voiture, assassinats, enlèvements avec la bénédiction des barons du régime, membres du gouvernement, etc.). Cette situation est générale pour tous ceux qui quittent le circuit officiel des études. Que ce soit avant le CM2, entre la sixième et la terminale, ou encore ceux qui sont parti de l’Université sans diplômes : ils sont tous rejetés par le système. Ceux qui réussissent doivent faire allégence au système
Vendeur de "pièces détachées' humaines avec sa victime
Bongo-PDG pour espérer avoir un poste.
On ne peut pas rêver d’une société parfaite certes. Mais un système qui avilit de la sorte l’essence même son avenir a t-il réellement d’avenir ?
Il y a la classe des instruits chômeurs, dont beaucoup sont totalement découragés, vidés de toute idée de lutte, à la suite de la longue nuit gabonaise. Il s’en trouve de temps en temps qui sont happés par le pouvoir. A leur tour malheureusement, ils ne tardent pas à adopter les mêmes attitudes outrancières. Ils se mettent à singer l’autocrate que n’a pas traditionnellement connu notre société, du moins sous sa forme actuelle édulcorée. Ils ont même fini par croire que le système est indéracinable, que le système Bongo-PDG est réellement un « mal incurable, mais nécessaire ».
Cette malheureuse et pernicieuse déviation des jeunes nous a amenés à réfléchir à ce que l’avenir était peut-être durablement compromis, parce que pris en sandwich entre deux forces opposées.
L’une est un courant de complaisance et d’attentisme. Elle comprend d’une part, certains Gabonais, que la longue nuit du monopartisme a complètement vidé de tout respect d’eux-mêmes et de toute envie de se réaliser, au point qu’ils se sont adaptés à la situation. Ils sont même prêts pour la plupart, contre artifices matériels, à défendre l’indéfendable. D’autre part, quelques Gabonais de la classe moyenne qui, reposant sur leur propre marge de sécurité, dans les domaines universitaires et économiques, et aussi parce qu’ils tirent un certain profit ponctuel de la situation, sont devenus insensibles aux multiples problèmes de leurs compatriotes. La plupart d’entre eux brillent par leur inculture et le désir inavoué d’imitation des occidentaux. Leur personnalité a été modelée par des relations, des goûts et des valeurs de l’étranger. Leurs émoluments et autres avantages matériels reposent sur les modèles «métropolitains». De par leurs habitudes mentales, ils sont plus à l’aise dans le confort et dans le style de vie des pays riches que dans le cadre traditionnel de leur propre société. Leur raffinement importé est devenu incompatible avec les façons de vivre locales. Leur mépris pour leurs compatriotes non instruits, pauvres et non occidentalisés ne le cède en rien à celui des dirigeants coloniaux du passé. Le complexe d’infériorité acquis en singeant leurs anciens maîtres est compensé par un souci excessif de gloriole et de prestige social. D’où une arrogance, une condescendance et une rapacité grotesques, le tout justifié par l’incapacité présumée des exploités à aspirer à la même situation d’expatriés virtuels qu’ils ont eux-mêmes atteinte. Ainsi, coupés des masses, ils éprouvent un sentiment d’insécurité et de crainte qui se transforme en une conviction que tout changement menaçant les privilèges existants jouerait également contre les intérêts de la communauté, dans son ensemble. N’ayant en règle générale aucune idéologie, ils préservent uniquement leurs intérêts personnels et sont loyaux à l’égard de ceux qui contribuent à le satisfaire. Telle est la pente qui conduit à n’être plus qu’un colonisateur de l’intérieur.
Une villa du clan Bongo à Nice:
l'accumulation de richesse au détriment des gabonais
La deuxième force d’inertie est composée d’indignés, ceux que la vie, les événements subis ont rendus amers. Ils sont prêts à prêcher la violence. Comment ignorer leur cri, leur revendication profonde de liberté, d’égalité et de bonheur quand ils doivent subir chaque jour, les turpitudes et les excès de tous les saltimbanques parvenus de la République des coquins ? Le pouvoir a simplement dépassé les limites au delà desquelles toute ambition devient illégitime. Pourtant, barrer le sentier de la liberté c’est ouvrir des autoroutes aux conflits. Lorsque l’on maintient la majorité de la population dans l’inculture et la misère tout en fermant les portes de l’espérance comment s’étonner que l’impatience entraîne le désespoir et prenne le masque de la violence ?
En bouffant toute la richesse du pays dans l’indifférence à la misère et aux souffrances du peuple gabonais, le système Bongo-PDG creuse sa tombe avec ses propres dents. La transition démocratique obtenue après les pressions sociales de la rue en 1990 au Gabon, a été conduite par des différents gouvernements de solidarité, de salut national ou autre de large ouverture ou de consensus, mis en place par le même régime pour calmer le peuple. Leurs promesses de bien être social, de justice et de libertés publiques, n’ont aucunement été tenues au moment de gouverner. La faillite du Gabon n’est pas seulement économique mais également institutionnelle, sociale et politique. La politique économique néocoloniale instituée depuis les indépendances en 1960 n’a jamais été abandonnée, mais s’est au contraire accentuée, car mise au service de la corruption et d’une oligarchie cynique et prédatrice qui cultive volontiers une économie de rente.

Si les tenants du pouvoir ne vivent pas cet état, les gabonais, 90% en tout cas, tirent le diable par la queue. Ils survivent dans un des pays ou la richesse se ramasse à la pelle par les barons du pouvoir. Comment peut-on justifier tant d’incohérence et tant de paradoxe par quelque chose d’autre que par l’égoïsme d’un groupe de prédateurs. Non la misère est injustifiable au Gabon. Un pouvoir qui est incapable de loger nourrir, éduquer, soigner et loger ses citoyens quand il roule sur l’or ne peut pas avoir d’autres qualificatifs. Le Gabon est un pays du paradoxe généralisé ; quand une famille de cinq personnes ne peut s’offrir décemment les trois repas quotidiens, d’autres, à quelques encablures de là se nourrissent au caviar, au camembert et au champagne. Les restes seront négligemment balancés à la poubelle pour être recueillis au petit matin par une horde de miséreux à la décharge publique du cimetière de Mindoubé. Pourtant les chiffres sont formels, le Gabon qui a un produit intérieur brut par habitant des plus élevé d’Afrique, serait classé parmi les premiers pays du monde dans l’indice du développement humain si sa richesse était bien repartie et bien redistribuée. Le système Bongo-PDG n’aime pas cet indice car il démontre l’ampleur de sa forfaiture et de sa trahison du peuple gabonais.
Les prédateurs unis pour le massacre
du Gabon et des gabonais

L’Abbé Noël Ngoua Nguema, dans un éditorial du journal «Missamu» avait résumé cette complainte en des termes peu élogieux à l’égard du régime : «… Depuis quarante ans, les tenants du pouvoir autocratique sont les seul à déterminer l’avenir du Gabon et des gabonais. Ils se sont depuis les années soixante, constituer, sous nos yeux, en une classe dominante, celle des nouveaux riches, et cela sur le dos du peuple gabonais. Demain, leurs descendants oublieront que leurs pères avaient du sang dans les mains et que leur richesse est le résultat de quatre décennies de prédation des ressources financières du pays. A les voir agir, on se demande s’ils ont encore un cœur de chair, un cœur d’homme. En effet, comment peut-on continuer à exploiter des compatriotes saignés à blanc? Le Gabon détient le triste record de la mortalité infantile en Afrique centrale. Aussi paradoxal que cela puisse paraître, des gabonais meurent chaque jours de faim et de misère; leur pays passe pourtant pour l’un des plus riches de l’Afrique! Avec une population d’environ un million d’habitants, le régime autocratique d’Omar Bongo n’arrive pas à assurer à notre jeunesse la formation à laquelle elle aspire et aux travailleurs le plein emploi. Tout se passe comme si la clameur de détresse de tout un peuple ne parvenait pas aux oreilles des maîtres du Gabon. Leur passion du gain et leur volonté de puissance et de nuisance sont-elles si fortes qu’ils sont devenus insensibles à la souffrance des autres, tels des lions guidés par la faim ou des drogués agissant sous l’effet de la drogue?
En effet mon père, ces femmes et hommes sont vraiment nés avant la honte, nous les connaissons et les gabonais les jugerons tôt ou tard. Tu avais vu juste. Ali Bongo ose affirmer que l’affaire des biens mal acquis ne le concerne pas même s’il en ai l’héritier des biens volés. Il affirme qu’il ne connait pas la françafrique, même s’il doit son pouvoir à cette nébuleuse maffia.
Jean Ndouanis

jeudi 11 juillet 2013

Liste des victimes des crimes rituels

Association de Lutte Contre les Crimes Rituels -ALCR
Vous trouverez ci-dessous une liste non exhaustive des cas recensés de crimes rituels par
L'Association de Lutte Contre Les Crimes Rituels(ALCR):

Les noms ci-dessous sont présentés de la façon suivante :
(Noms et prénoms de la victime, Age de la victime, Sexe de la victime, Année déclarée du décès, Lieu
déclaré du crime, Source et enfin Nationalité de la victime)

ALCR Association de Lutte contre les Crimes Rituels.
B.P. 13 497 Libreville /Gabon : Tél. (+241) 07 36 08 57/ 06 83 74 63
N° Récépissé N° 194/MISI/ SG/ CE. E : mail mbeng-felix@yahoo.fr: Cpte N° 00062680001

A/ Province de l’Estuaire
1- NGOUA Wally Igor 06 M 2005 Lac Nzeng A U.N° 8815 Gabonaise
2 NDONG ONDO Emmanuel 52 M 16/11/08 LBV Parents Gabonaise
3 NDOUTOUME Willy 21 M 11/05/07 Plage LBV U N° 9443 Gabonaise
4 MENGUE ME NZENG Amanda 04 F 2008 LBV Parents Gabonaise
5- Mbeng ONDO Félix 37 M 1998 Dibadiba Parents Gabonaise
6- OBAME Serge 20 M 2000 LBV Plage Parents Gabonaise
7- ESSONO EFFA David 17 M 2000 LBV Plage Parents Gabonaise
8- NYINGONE NGOUA Dietrich Priscille 11 F 2002 LBV Plage Parents Gabonaise
9- EDOU EBANG Eric 12 M 2005 LBV Plage Parents Gabonaise
10- ABOUBAKAR Ibrahim 12 M 2005 LBV Plage Parents Gabonaise
24- BOUDZANGA M 2005 Alibandeng Parents Gabonaise
25- MOUSSAVOU NDOMBI 18 M 2005 LBV Plage Parents Gabonaise
26- KOUEKI Saturnin 18 M 2005 Alibandeng Parents Gabonaise
27- MIYAYE Jessica 06 M 2006 LBV U.N° 9028 Gabonaise
28- MAPANGOU Sylvain 03 M 2006 LBV PK 8 U.N° 9016 Gabonaise
29- DANSAKO M. Siné 03 M 2006 Concession Privée LBV U.N° 9027 Béninoise
30- HOUNDAFOSSI Parfait 03 M 2006 Concession Privée LBV U.N° 9027 Malienne
31- CHAKIRATOU 03 F 2006 Concession Privée LBV U.N° 9027 Togolaise
32- ESSONO NGUEMA Joanes 17 M 2006 LBV Plage Parents Gabonaise
33- LEKEBA Larry 19 M 2006 LBV Plage U.N° 9186 Gabonaise
40- NGUEMA Guy Georges 28 M 2006 UOB LBV Etudiants Gabonaise
41- ESSOMOYO’OWONO Christelle 28 F 2006 PK 5 LBV U.N° 9245 Gabonaise
42- NDONG ONDO Simon 38 M 2006 PK 5 LBV U.N° 9141 Gabonaise
59- SIMA OMVA Jean François 35 M 2005 LBV Bessieux U.N° 8928 Gabonaise
60- KOUMBA Joël 25 M 2005 Essassa U.N° 9000 Gabonaise
78- BABABLA BOMBA Colty 23 M 2008 LBV U N° 9961 Gabonaise
50- EYANG MBA 06 F 1980 Owendo U.N° 10000 Gabonaise
51- MEDZO AKAMASE F 1980 Owendo U.N° 10000 Gabonaise
52- EDANG MEDZO M 1984 Owendo U.N° 10000 Gabonaise
53- NYARE Clémentine F 1985 Owendo U.N° 10000 Gabonaise
54- ONDO NDONG André M 1988 Owendo U.N° 10000 Gabonaise
57- TCHINGA M 2007 LBV U.N° 9429 Gabonaise
56- IMANDZA Nathalie 38 F 2008 LBV PK 10 U.N° 9716 Gabonaise
78- BABABLA BOMBA Colty 23 M 2008 LBV U N° 9961 Gabonaise
65- MOUKAMBI Jean Marie 37 M 2008 LBV PK 8 U.N° 9614 Gabonaise
63- PRINCE 15 M 2007 LBV U.N° 9442 Gabonaise
71- LEKOYO Graig Martin 03 M 2008 LBV U25/04/08 Gabonaise
69- MABONGOU Augustine 59 F 2007 Agondjé U N° 9540 Gabonaise
67- FOMEKAN Yves Gauthier 16 M 2007 LBV U.N°9378 Gabonaise
74- MOUBANDZA Maurice M 2008 Rougier Gab U.11/04/08 Gabonaise
75- MENGUE Bilinda 04 F 2008 LBV Parents Gabonaise
78- BABABLA BOMBA Colty 23 M 2008 LBV U N° 9961 Gabonaise
80- MOUSSIROU Audrey 23 F 2005 LBV U N° 8924 Gabonaise
81- NZIGOU NBINA Alphonse M /07 Ntoum U N° 9391 Gabonaise
82- MBAYE Oumy 19 M 2005 LBV U N° 8800 Gabonaise
84- EDGOU DOUGA Alain 27 M 2005 LBV U N° 9002 Gabonaise
85- OBIANG BEYEME Hervé M 1992 LBV Mibana N°21 Gabonaise
86- EGNINGA LEMBE Serge M 2003 LBV Démocrate N° 14 Gabonaise
89- BILEMBA Beverline 18 F 12/12/08 Kango Le Temps N° 238 Gabonaise
90- ANOUSHKA 15 F 15/5/2009 Melene TV+ 20h Gabonaise
93- MENGUE ME NZENG Amanda 04 F 2008 LBV Parents Gabonaise
94- BE OVONO Brice Boris 14 M 30/01/08 Si bang LBV U.N° 9632 Gabonaise
95- EPGNET Evelyne 38 F 07/02/08 Midoumbé U N° 9639 Gabonaise
96- MBA NDOUTOUME Brice 15 M 11/05/07 Plage LBV U N° 9443 Gabonaise
97- MADZA MVE Claudine 36 F 17/01/11 Motel Lalala Beach LBV Griffe 2011 Gabonaise
98- NDOUTOUME Willy 21 M 11/05/07 Plage LBV U N° 9443 Gabonaise
99- NDONG MBEGA Romaric 10 M 09/03/09 Plage LBV Parents Gabonaise
100- MASSOUKY Victoire 4 F 08/03/11 Port - gentil UN°10576 Gabonaise
101- GRAIG Marvin LENKOGO ABAYA 3 M 06/04/08 Derrière la Prison Parents Gabonaise

B/Province de l’Ogooué Ivindo
1- ETOUA Jérôme 5 M 1/04/ 2011 MboloEDOK Mako Parents
2- EPEGNE 18 M 2011 PK 18 Makokou
3- NKINI Robert 12 M 2008 Ndjolé Union N° 9931 Gabonaise
4- ZECKO Célestine 42 F 12/04/2008 Epessandje Mako Parents
5- GOPOUM Alexis 12 M 2011 Mananga Makokou Parents
6- Blisse Brunelle MEBINE MOUAMBI 19 F 12/07/2010 Débarcadère samba Makokou Parents
7- MBA MINKO 12 M 2008 Edoung avion Mako Collectif Ogivin
8- EDANG Ralph 12 M 3/03/08 Derrière l’hôpital Mako Collectif Ogivin
9- YOUME Alexis Christian 20 M 2008 Booué U.N° 9771 Gabonaise

NB : La liste du collectif Ogivin victimes des crimes rituels viendra renforcer ces cas recensés

C/ Province de Moyen Ogooué
1- Obame Roger M 1990 Ndjole Parents Gabonaise
2- LOKOUEN Véronique 12 F 2006 Lambaréné U.N° 9185 Gabonaise
3- MASSINMINGUILE Margueritte 55 F 2006 Lambaréné U.N° 9185 Gabonaise
4- KESSANY Myriam 32 F 2006 Lambaréné U.N° 9185 Gabonaise
5- AYOUNE Dieudonné 04 M 2006 Lambaréné U.N° 9185 Gabonaise
6- KOMBILA IBIATSI 3mois M 2006 Lambaréné U.N°9185 Gabonaise
7- BENIE NANGA Jordan 08 M 2008 Lambaréné Ezombolo.N° 09 Gabonaise
8- NTSAME Martine 51 F 2008 Lambaréné Ezombolo.N° 09 Gabonaise
9- YOUME Alexis Christian 20 M 2008 Booué U.N° 9771 Gabonaise
10- NDIMINA Alfred 25 M 2008 Lambaréné U.N°9741 Gabonaise
11- LONGUE NGUEMA Gustave 58 M 2008 Lambaréné U.N° 9838 Gabonaise
12- NKINI Robert 12 M 2008 Ndjolé U N° 9931 Gabonaise
13- OLAME Jean Jacques 22 M 2009 Lambaréné Parents
14- Michelle MBOUMBA 26 F 2011 Lambaréné
15 BIGNAN Joël 42 M 22/12/09 Lambaréné Parents
16- NGUEMA Olui 40 M 31/12/09 Lambaréné Parents
17- MBOUMBA Michelle 26 F 28/02/2011 Mitoumili UN° 10566