LES ASSASSINS A LA SOLDE DE PATRICK HERVE OPIANGA CONSEILLER ET EXÉCUTEUR DES BASSES ŒUVRES DE BONGO-ONDIMBA ALI SONT PASSES A L'ACTION
Un reportage d'Annie Léa MEYE
Tentative d'assassinat du président Jean Ping. Ce matin, aux environs de
7h, un groupe d'environ 300 jeunes armes de gourdins, cailloux et
casiers de bouteilles vides s'est retrouve au niveau de la clinique
médi vision aux charbonnages. Puis, ils ont pris la direction du
domicile du président Jean Ping situe à 100 mètres environs du lycée
français criant et scandant des injures. Ils étaient en possession d'une
banderole marquée " libérez les prisonniers." Devant le portail,
ils ont allumé un feu puis ont commencé à jeter avec une extrême
férocité, tous les projectiles en leur possession brisant les fenêtres
et baies vitrées. Je vous passe les détails. La résidence de Jean Ping
ressemblait à un véritable champ de bataille. Il faut souligner que tout
cela s'est passe sous le nez et la bénédiction des gendarmes qui sont
stationnés devant chez Jean Ping depuis bientôt une semaine. Grâce à la
réactivité des jeunes militants de l'opposition alertes,nous avons pu
mettre la main sur 15 éléments du groupe de loubards recrutés pour
effectuer cette basse besogne. Nous sommes désormais en possession de
tous les éléments nous permettant de désigner les commanditaires de cet
acte odieux. Je vous envoie quelques images.
Un reportage d'Annie Léa MEYE
Un reportage d'Annie Léa MEYE
A BONGO-ONDIMBA ALI- OPIANGAH-ACCROMBESSI SIDONIE OUWE-MBOURANTSUO-NZOUBA
VOULEZ-VOUS LA GUERRE CIVILE?
Bien que nous ne reconnaissons pas la légitimité ni
la légalité de votre régime qui est parvenu au pouvoir par un coup de force, je
vous rappelle que, en tant que détenteur de la gestion de l’exécutif établie de
votre propre chef, votre régime a la responsabilité d’assurer la sécurité de
tous.
Suivant la jurisprudence de Nuremberg, la responsabilité individuelle
et pénale de chacun d’entre vous est engagée devant les tribunaux qui seront
commis aux effets de vous juger en raison des violations des droits et libertés
et des menaces que vous faite à l’endroit des gabonais.
Nous savons que vous avez créer, en
complicité avec le Ministre de la défense, du ministre des affaires étrangères,
du général Alioune Ibaba, d'Opiangah et certains affidés de la sécurité présidentielle, un
escadron de la mort agissant sous le couvert du MDN (B2, DGR, Services secrets
et de la police), et dont les objectifs et le rôle est de se débarrasser de
tous ceux qui peuvent être un obstacle à l’imposture en cours au sommet de
l’Etat.
Les actions en cours qui sont l’intimidation,
la persécution et l’assassinat des gabonais qui font ombrage à Bongo Ondimba
Ali dans la perspective des élections de 2016 sont une violation inacceptable
des droits humains. Celles-ci vous exposent de fait à des poursuites devant les
tribunaux internationaux.
Le peuple gabonais et la communauté internationale,
à la tête desquels vous trouverez vos victimes, Vous tiendra personnellement et
pénalement responsable de ces crimes devant la justice internationale et
nationale revue pour ces faits.
Les menaces de mort à l’encontre de tous les
gabonais de l'opposition à votre régime et à l’encontre de leurs familles n’ont
pas cessé à ce jour au Gabon et à l’étranger, ou, des sicaires à qui vous
donnez armes, argent et drogues sont commis pour des actes d’intimidation, de vandalisme et d’assassinats.
Cette
situation qui confirme l’illégalité et l'illégitimité consacrées par
l'impopularité de votre régime est inacceptable. J’en ferai part aux autorités
de la communauté internationale de la préoccupation que m’inspire leur
répétition et votre violation fragrante des principes élémentaires des droits de l'homme.
Comment pouvez-vous croire un seul instant que l'assassinat d'un leader politique de l'opposition n'entrainera pas la guerre civile?
Essayez et vous verrez que le peuple avec lequel vous me trouverez prendra les armes contre vous.
Jean Ndouanis
COMPLICITÉ DE SIDONIE FLORE OUWE ET DE MAPANGOU BERTRAND
Cet acte est un acte terroriste qui s'est fait à l'initiative de Bongo-Ondimba Ali, avec la complicité tacite de Sidonie Flore Ouwé et de Bertrand Mapangou devant un escadron de gendarmes en faction devant la résidence de Jean Ping.
Ou est passé Sidonie Flore Ouwé pour venir constater un attroupement armé pour fonder un trouble à l'ordre public ou privé?
Ou est passé Mapangou Bertrand pour interdire une marche violente des partisans drogués et armés de son parti sous la conduite d'Opiangah?
La complicité des deux membres du régime est évidente ils doivent en répondre.
Les commanditaires de cet acte sont-ils conscients qu'un tel acte peut déclencher des hostilités, ou il n'est nullement établi qu'ils en sortiront vainqueurs?
Aucune armée ne peut venir à bout d'un peuple déterminé. Les soubresauts actuels de BOA qui a affirmé sur RFI que ses actes de naissance sont des faux pour le rectifier, ou pour ne plus le dire, dans une interview avec le même journaliste à France 24 ne sont que prémisses d'une chute annoncée. A force de mentir, le cerveau fini souvent, sans que la conscience le veuille, par livrer la vérité. Trop tard ce blog a enregistré la bande audio de RFI et va publier des morceaux choisis dans ci-peu.
Tous ces documents constituent des preuves à charge contre le régime
Jean Ndouanis
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.