mardi 12 août 2014

Affaire UPG contre Mboumba-Nziengui: Réponse du Président de l'UPG contre le jugement inique de fulgence Ongama

Chers tous,
De toute évidence, Monsieur MOUBAMBA le chantre du Parti de la Famille, a choisi de me combattre sur la base de l’orientation expérimentée pour la propagande nazie, qui a éprouvé le fait, qu’à force d’asséner des mensonges, ils deviennent des vérités.
Avec le zèle du nouveau converti, Monsieur MOUBAMBA s’acharne à se présenter comme une alternative au sein de l’UPG, qu’il a rejoint après le décès de Pierre MAMBOUNDOU, qu’il avait copieusement insulté sur la place publique.
Je me réserve, en temps utile, de diffuser tous les supports en ma possession, qui montrent tout ce que l’opportunisme peut avoir d’indécent.
Je me réserve, en temps utile, de démontrer sur la place publique, en quoi MBOUMBA NZIENGUI ne peut être une alternative au sein de l’UPG, qu’il a fait reculer sur le terrain.
N’ayant pour tout ressort que la caution du Pouvoir en place, qui le promène en épouvantail avec l’espoir malheureusement de contrôler l’UPG, et surtout l’électorat du sud du Gabon, je démontrerai sur le menu, pourquoi mon grand frère Mathieu MBOUMBA NZIENGUI est une loque politique.
J’expliquerai à l’opinion nationale, l’approche stratégique arrêtée il y a 25 ans, qui explique pourquoi les statuts de l’UPG, que j’ai écrit , ne comportaient pas de poste de Président jusqu’à la réforme adoptée par le congrès en 2014.
Au nom de la même réalité, j’indiquerais pourquoi MOUKAGNI-IWANGOU, et bien d’autres cadres dont il fallait préserver les carrières pour garantir la contribution qualitative à la réflexion du Parti, n’ont pas de carte de membre.
Au nom de la réalité, à laquelle j’ai activement participé, je vais démontrer en quoi je suis le véritable héritier politique de Pierre MAMBOUNDOU, que j’ai accompagné pied à pied, dans sa marche obstinée pour l’enracinement de la démocratie véritable au Gabon, pendant que MBOUMBA NZIENGUI était aux abonnés absents quand il n’animait pas simplement le front familial contre notre leader.
Pour que le silence que je me suis imposé jusqu’à ce jour, n’accrédite pas le mensonge asséné régulièrement par MOUBAMBA, je vais désormais parler, et croyez-moi, je connais bien des choses.
Je vais parler, déjà pour démonter, pied à pied, l’argumentation spécieuse de Monsieur Fulgence ONGAMA, le juge des référés. Et je sais de quoi je parle.
Je vais parler, ensuite pour dévoiler sur le détail, l’objectif qui se cache derrière toute la campagne de diabolisation orchestrée contre ma personne dans le dossier de la FEGAFOOT, aujourd’hui bloqué par l’effet conjugué, d’une part de la défection de NDOUMBOU qui n’a pas plus d’argument à produire aux débats et qui oppose désormais le silence aux convocations du juge, d’autre part de la posture de ce juge, SANKY William, commis par sa hiérarchie pour faire la lumière, mais qui hésite à conclure par un non-lieu cinglant, un dossier ouvert pour me crucifier par la voie judiciaire mais qui est en passe de m’offrir des arguments pour rebondir.
Je vais parler pour montrer le véritable objet recherché par toute cette agitation.
Je vais parler, pour refuser le divertissement et inviter les gabonais vers le vrai débat que l’on veut occulter par ce divertissement, le débat l’alternance.
MOUKAGNI-IWANGOU

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