Chers tous,
De toute évidence, Monsieur MOUBAMBA le chantre du Parti
de la Famille, a choisi de me combattre sur la base de l’orientation
expérimentée pour la propagande nazie, qui a éprouvé le fait, qu’à force
d’asséner des mensonges, ils deviennent des vérités.
Avec le zèle du nouveau converti, Monsieur MOUBAMBA
s’acharne à se présenter comme une alternative au sein de l’UPG, qu’il a
rejoint après le décès de Pierre MAMBOUNDOU, qu’il avait copieusement insulté
sur la place publique.
Je me réserve, en temps utile, de diffuser tous les
supports en ma possession, qui montrent tout ce que l’opportunisme peut avoir
d’indécent.
Je me réserve, en temps utile, de démontrer sur la place
publique, en quoi MBOUMBA NZIENGUI ne peut être une alternative au sein de
l’UPG, qu’il a fait reculer sur le terrain.
N’ayant pour tout ressort que la caution du Pouvoir en
place, qui le promène en épouvantail avec l’espoir malheureusement de contrôler
l’UPG, et surtout l’électorat du sud du Gabon, je démontrerai sur le menu,
pourquoi mon grand frère Mathieu MBOUMBA NZIENGUI est une loque politique.
J’expliquerai à l’opinion nationale, l’approche
stratégique arrêtée il y a 25 ans, qui explique pourquoi les statuts de l’UPG,
que j’ai écrit , ne comportaient pas de poste de Président jusqu’à la réforme
adoptée par le congrès en 2014.
Au nom de la même réalité, j’indiquerais pourquoi
MOUKAGNI-IWANGOU, et bien d’autres cadres dont il fallait préserver les
carrières pour garantir la contribution qualitative à la réflexion du Parti,
n’ont pas de carte de membre.
Au nom de la réalité, à laquelle j’ai activement participé,
je vais démontrer en quoi je suis le véritable héritier politique de Pierre
MAMBOUNDOU, que j’ai accompagné pied à pied, dans sa marche obstinée pour
l’enracinement de la démocratie véritable au Gabon, pendant que MBOUMBA
NZIENGUI était aux abonnés absents quand il n’animait pas simplement le front
familial contre notre leader.
Pour que le silence que je me suis imposé jusqu’à ce
jour, n’accrédite pas le mensonge asséné régulièrement par MOUBAMBA, je vais
désormais parler, et croyez-moi, je connais bien des choses.
Je vais parler, déjà pour démonter, pied à pied,
l’argumentation spécieuse de Monsieur Fulgence ONGAMA, le juge des référés. Et
je sais de quoi je parle.
Je vais parler, ensuite pour dévoiler sur le détail,
l’objectif qui se cache derrière toute la campagne de diabolisation orchestrée
contre ma personne dans le dossier de la FEGAFOOT, aujourd’hui bloqué par
l’effet conjugué, d’une part de la défection de NDOUMBOU qui n’a pas plus
d’argument à produire aux débats et qui oppose désormais le silence aux
convocations du juge, d’autre part de la posture de ce juge, SANKY William,
commis par sa hiérarchie pour faire la lumière, mais qui hésite à conclure par
un non-lieu cinglant, un dossier ouvert pour me crucifier par la voie
judiciaire mais qui est en passe de m’offrir des arguments pour rebondir.
Je vais parler pour montrer le véritable objet recherché
par toute cette agitation.
Je vais parler, pour refuser le divertissement et inviter
les gabonais vers le vrai débat que l’on veut occulter par ce divertissement,
le débat l’alternance.
MOUKAGNI-IWANGOU
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