Le marché
des «pièces détachées» humaines notamment cœurs, clitoris et fœtus, est à la mode et en continuelle expansion. Toute la classe dirigeante de
la dictature des Bongo-Ondimba, à commencer par lui-même Ali qui s'affuble d'un gourou vaudou est convaincue qu’il n’est pas possible d’obtenir quoi
que ce soit avec ses compétences ou ses valeurs intrinsèques sans une dose de
fétiche, de «tchang» ou de «grimba» c’est selon l'expression consacrée.
Aujourd’hui
au marché de Mont-Bouët, il est possible de s’acheter toute pièce détachée
humaine, que ce soit le cœur d’un bébé ou le sexe d’une vierge. Les initiés
savent ou se le procurer en plein marché au centre de la ville de Libreville
sans que cela ne frustre qui que ce soit. Les principales victimes de cet
ignoble trafique, c'est les enfants, les jeunes filles vierges de moins de 14
ans et les jeunes hommes puceaux intelligents qui sont appâtées par l’argent et
le luxe. La misère du peuple aidant, ces tortionnaires n’ont pas le moindre mal
pour dégoter leurs victimes.
Ces pauvres
enfants enlevés à la sortie des classes subissent le prélèvement d'organes
étant vivant et parfois au cours des cérémonies rituelles ou des orgies. Le
viol est de règle par des tortionnaires avides, l’etat de meurtrissement dans
lequel sont retrouvé les corps traduit non seulement la violence de l'acte
indique une participation de plus d’une personne. Cela traduit la dangérosité
des barons du régime Bongo-PDG.
D’autres
jeunes dames en quête de richesse se livrent elles-mêmes à cet odieux trafique.
Une clinique au quartier huppé des «trois quartiers» à Libreville se charge de
l’ignoble besogne d’opération. Ces jeunes demoiselles vendent ce qu’elles ont
de plus cher en elle contre de l’argent. Elles cèdent soit volontairement, soit
au cours d’une opération dont elles se rendent comptent que plus tard de
l’ampleur des dégats, leur fœtus ou leur clitoris contre de l’argent.
Aujourd’hui, elles
constituent une classe des personnes qui souffrent secrètement pour avoir crût
qu’en concluant un tel pacte avec le diable elles auront le paradis assuré. Ce
genre de réalité a dépassé la fiction et ce type d’événement macabres se
comptent par centaine au Gabon. Bongo père comme son successeur de fils
couvrent tout les crimes rituels des barons de son régime. Ses nombreuses
polices politiques et ses mercenaires se chargent de faire taire le parents qui
veulent trop bruyamment exprimer leur chagrin.
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