lundi 12 janvier 2015

URGENT: TENTATIVE D'ASSASSINAT DE JEAN PING CE MATIN

LES ASSASSINS A LA SOLDE DE PATRICK HERVE OPIANGA CONSEILLER ET EXÉCUTEUR DES BASSES ŒUVRES DE BONGO-ONDIMBA ALI SONT PASSES A L'ACTION
Un reportage d'Annie Léa MEYE 

Tentative d'assassinat du président Jean Ping. Ce matin, aux environs de 7h, un groupe d'environ 300 jeunes armes de gourdins, cailloux et casiers de bouteilles vides s'est retrouve au niveau de la clinique médi vision aux charbonnages. Puis, ils ont pris la direction du domicile du président Jean Ping situe à 100 mètres environs du lycée français criant et scandant des injures. Ils étaient en possession d'une banderole marquée " libérez les prisonniers." Devant le portail, ils ont allumé un feu puis ont commencé à jeter avec une extrême férocité, tous les projectiles en leur possession brisant les fenêtres et baies vitrées. Je vous passe les détails. La résidence de Jean Ping ressemblait à un véritable champ de bataille. Il faut souligner que tout cela s'est passe sous le nez et la bénédiction des gendarmes qui sont stationnés devant chez Jean Ping depuis bientôt une semaine. Grâce à la réactivité des jeunes militants de l'opposition alertes,nous avons pu mettre la main sur 15 éléments du groupe de loubards recrutés pour effectuer cette basse besogne. Nous sommes désormais en possession de tous les éléments nous permettant de désigner les commanditaires de cet acte odieux. Je vous envoie quelques images. 
Un reportage d'Annie Léa MEYE
 



A BONGO-ONDIMBA ALI- OPIANGAH-ACCROMBESSI SIDONIE OUWE-MBOURANTSUO-NZOUBA

VOULEZ-VOUS LA GUERRE CIVILE?

Bien que nous ne reconnaissons pas la légitimité ni la légalité de votre régime qui est parvenu au pouvoir par un coup de force, je vous rappelle que, en tant que détenteur de la gestion de l’exécutif établie de votre propre chef, votre régime a la responsabilité d’assurer la sécurité de tous. 
Suivant la jurisprudence de Nuremberg, la responsabilité individuelle et pénale de chacun d’entre vous est engagée devant les tribunaux qui seront commis aux effets de vous juger en raison des violations des droits et libertés et des menaces que vous faite à l’endroit des gabonais.

Nous savons que vous avez créer, en complicité avec le Ministre de la défense, du ministre des affaires étrangères, du général Alioune Ibaba, d'Opiangah et certains affidés de la sécurité présidentielle, un escadron de la mort agissant sous le couvert du MDN (B2, DGR, Services secrets et de la police), et dont les objectifs et le rôle est de se débarrasser de tous ceux qui peuvent être un obstacle à l’imposture en cours au sommet de l’Etat.

Les actions en cours qui sont l’intimidation, la persécution et l’assassinat des gabonais qui font ombrage à Bongo Ondimba Ali dans la perspective des élections de 2016 sont une violation inacceptable des droits humains. Celles-ci vous exposent de fait à des poursuites devant les tribunaux internationaux.
Le peuple gabonais et la communauté internationale, à la tête desquels vous trouverez vos victimes, Vous tiendra personnellement et pénalement responsable de ces crimes devant la justice internationale et nationale revue pour ces faits.

Les menaces de mort à l’encontre de tous les gabonais de l'opposition à votre régime et à l’encontre de leurs familles n’ont pas cessé à ce jour au Gabon et à l’étranger, ou, des sicaires à qui vous donnez armes, argent et drogues sont commis pour des actes d’intimidation, de vandalisme et d’assassinats.

Cette situation qui confirme l’illégalité et l'illégitimité consacrées par l'impopularité de votre régime est inacceptable. J’en ferai part aux autorités de la communauté internationale de la préoccupation que m’inspire leur répétition et votre violation fragrante des principes élémentaires des droits de l'homme.
Comment pouvez-vous croire un seul instant que l'assassinat d'un leader politique de l'opposition n'entrainera pas la guerre civile?

Essayez et vous verrez que le peuple avec lequel vous me trouverez prendra les armes contre vous.
Jean Ndouanis


COMPLICITÉ DE SIDONIE FLORE OUWE ET DE MAPANGOU BERTRAND

Cet acte est un acte terroriste qui s'est fait à l'initiative de Bongo-Ondimba Ali, avec la complicité tacite de Sidonie Flore Ouwé et de Bertrand Mapangou devant un escadron de gendarmes en faction devant la résidence de Jean Ping. 

Ou est passé Sidonie Flore Ouwé pour venir constater un attroupement armé pour fonder un trouble à l'ordre public ou privé?

Ou est passé Mapangou Bertrand pour interdire une marche violente des partisans drogués et armés de son parti sous la conduite d'Opiangah?
 
La complicité des deux membres du régime est évidente ils doivent en répondre.

Les commanditaires de cet acte sont-ils conscients qu'un tel acte peut déclencher des hostilités, ou il n'est nullement établi qu'ils en sortiront vainqueurs?

Aucune armée ne peut venir à bout d'un peuple déterminé. Les soubresauts actuels de BOA qui a affirmé sur RFI que ses actes de naissance sont des faux pour le rectifier, ou pour ne plus le dire, dans une interview avec le même journaliste à France 24 ne sont que prémisses d'une chute annoncée. A force de mentir, le cerveau fini souvent, sans que la conscience le veuille, par livrer la vérité. Trop tard ce blog a enregistré la bande audio de RFI et va publier des morceaux choisis dans ci-peu.

Tous ces documents constituent des preuves à charge contre le régime

Jean Ndouanis


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