ONA ONDO, un triste Premier des Minsitres du régime BOA, qui, comme ses prédecesseurs, ne gouverne rien. |
Ce dernier n'ayant fait le bac
nulle part avait décidé de se pourvoir du titre de docteur en droit. Il lui
fallait donc une maitrise en droit. Max Rémondo, à l'époque responsable de la
faculté de droit et des sciences économiques, fut sollicité à cet effet par le
père Omar Bongo. Ce dernier refusa et parti jusqu'à la démission pour ne pas
s'inscrire dans cette imposture qui ne grandissait pas l'université du Gabon.
Ona Ondo fut donc nommé à sa place, et comme par magie le BOA de service obtint
sa "maitrise en droit" de la faculté de droit et des sciences
économiques du Gabon. Entretemps personne ne se souvient, entre 1980 et 1990,
avoir partagé le même amphi que le fils adoptif de Bongo-Ondimba Omar. Par
ailleurs, la fameuse soutenance d'une thèse rédigée à l'évidence par un éminent
professeur français, s'est faite à huis-clos. Personne n'a vu celle-ci depuis
lors.
On ne peut donc pas s'étonner de
l'excès de zèle d'ONA ONDO pour soutenir l'insoutenable incompétence de
Bongo-Ondimba Ali: ce pacte secret les lient, puisqu'il a fabriqué cette
imposture et la fiction des études d'un imposteur.
BOA est un adepte du mensonge, du
faux et de l'usage du faux. Les gabonais se souviennent encore de son faux acte
de naissance, établi par un sombre individu du nom d'Akassaga Okinda, ci-devant
ex maire CLR du 3eme arrondissement. Cet individu, après avoir été limogé par
son mentor, a été recyclé en perturbateur des manifestations de l'opposition y
compris à l'étranger pour le compte d'un dictateur en mal de popularité.
Tous ces individus fanatisés qui
participent à la validation d'une dictature en produisant du faux, en
utilisant les moyens de l'Etat aux fins de pérenniser une imposture, en y commettant assassinats, crimes d'Etat, une prédation sans bornes à la tête
de l'Etat sont autant coupables que celui qu'ils protègent.
Voltaire écrivait : « Le fanatisme est à la superstition ce que
le délire est à la fièvre, ce que la rage est à la colère. Celui qui a des
extases, des visions, qui prend des songes pour des réalités, et ses
imaginations pour des prophéties, est un enthousiaste ; celui qui soutient sa
folie par le meurtre, est un fanatique. » Voltaire (1694-1778)
Et encore « Lorsqu’une fois le fanatisme a gangréné un cerveau, la maladie est
presque incurable » Voltaire (1694-1778)
En fin « Ceux qui peuvent vous faire croire en des absurdités pourront vous faire
commettre des atrocités » Voltaire (1694-1778).
Les gabonais doivent se garder d’écouter
ou de suivre des personnes comme ONA ONDO, car il est obnubilé par le fanatisme
et le respect d’un homme qui n’est élu de personne et qui se sert des lois pour
asservir les gabonais.
Montesquieu dans l’esprit des lois écrivait :
« Il n'y a point de plus cruelle
tyrannie que celle que l'on exerce à l'ombre des lois et avec les couleurs de
la justice... ». La tyrannie de BOA est la plus terrible que les gabonais
aient connu. Ce dictateur se cache derrière des lois iniques qu’il crée pour
gouverner et pour régler des comptes aux adversaires politiques. Pire, il punie
le peuple gabonais en précarisant d’avantage les gabonais. Le peu d’infrastructures
laisséees par son père sont systématiquement détruits : les hôpitaux, les
écoles, les stades, les hôtels n’échappent pas à cette folie destructrice. Et que
fait ONA ONDO ? Rien, puisqu’il est là pour appliquer une politique d’un
autre âge basée sur le faux.
Un homme politique fort, un leader
fort, n’a besoin de prouver ni à lui-même ni à son entourage politique ce qui
est évident pour tout le monde. Il se sent libre de ses mouvements, participe
aux négociations avec ses opposants, cherche à faire comprendre sa position et
à comprendre celle de ses interlocuteurs. Il est prêt à faire des compromis
raisonnables et parvient toujours à une décision, même dans les situations les
plus extrêmes. C’est la situation de Jean PING.
Jean PING, personnalité forte de l'oposition au Gabon: "Je n'ai peur de personne" |
Un homme politique au caractère faible cherche constamment à démontrer à son entourage et à lui-même qu’il n’est pas réellement ce que les autres pensent de lui. Il cherche à prouver sa force, qui en réalité ressemble davantage à de l’obstination. S’il change d’avis après avoir fait une déclaration, il ne fait que prouver sa faiblesse, d’autant plus qu’il évite les négociations d’homme à homme parce qu’il les redoute.
Au lieu de cela, il envoie des
émissaires chargés de consignes rigides et inflexibles, trace sans arrêt des
lignes rouges, recourt à la menace et aux sanctions, et exige la capitulation
de son vis-à-vis : c’est là un mode de négociation vain et
contre-productif. En effet, la capitulation ne saurait être acceptée par aucune
nation qui se respecte.
Par conséquent, l’homme politique
faible a tendance à précipiter immédiatement la situation dans un conflit au
lieu de trouver une solution. Il n’agit ainsi que pour prouver, à lui-même et à
autrui, sa puissance illusoire, et pour cela il est prêt à sacrifier des
milliers de vies humaines. Il est prompt à imposer des sanctions qui causeront
la souffrance de millions d’êtres humains. Ce faisant, il ne nuit pas seulement
au partenaire-opposant, mais aussi à son propre pays. C’est ici le cas typique
de Bongo-Ondimba Ali.
Gabonaises et gabonais lutterons de toutes nos forces contre tous les obscurantismes criminels en émergence de BOA et ses complices.
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