Un prédateur qui protège des assassins est un assassin et celui qui s'affiche avec un tel assassin est un complice présumé |
A la demande des Gabonais Libres de Bruxelles (en tant que capitale de l'Europe) je publie cet article.
Bonne lecture.
JN
Candidat aux élections
présidentielles en violation de la Constitution, poussé par la soif du pouvoir
absolu et la puissance coloniale, intronisé par l’Imperator Sarkozy, l’autoproclamé
roi-président gabonais n’a jamais défendu son pays, mais uniquement servi ses
intérêts et ceux des étrangers et Franc-maçons à qui il a prêté le serment d’allégeance.
Gabriel EKOMIE ami d'Ali Bongo Ondimba criminel rituel sous la protection du dictateur il a été dernièrement libéré par sa justice sur ses ordres |
Alors qu’il arrive au
terme de son mandat usurpé dans moins de trois ans, il apparaît plus préoccupé
par la prorogation de ses pouvoirs et par la corruption des opposants, par les
pots de vins des groupes étrangers à qui il brade le pays, que pour aider à
résoudre les problèmes de ses concitoyens. Sa dernière trouvaille : mettre
en difficulté fiscale les opérateurs économiques et les entreprises qui
apportent un peu de lumière et d’espérance dans la sombre vie miséreuse de
gabonais. A cette soif d’argent il ajoute les fonds communs des fonctionnaires
et les salaires des nombreux fonctionnaires fantômes pourtant identifiés mais qui
continuent à émarger au budget de l’Etat. Les immenses budgets d’investissement
depuis quatre ans n’ont produit que des maquettes et des études non payées. Les
nombreux voyages aussi inutiles que superflus n’ont servi qu’à satisfaire les
appétits gargantuesques et la soif de gloriole de cet enfant gâté. Les
évènements loufoques organisés avec l’argent du contribuable et qui n’ont pour
effet que de remplir les poches de ses amis prédateurs étrangers et les crimes
rituels qu’il pratique et qu’il soutient viennent compléter cette liste sombre de
son passif à la tête du Gabon.
Des ossements humains découverts chez un exécuteur des basses œuvres du BOA |
Une victime de la boulimie des crimes rituels du régime Bongo-Ondimba Ali (BOA) à Port-gentil |
Une mère qui pleure sa fille victime des crimes rituels des assassins d'Ali Bongo Ondimba |
Il est bien connu cet
adage des Gabonais qui dit que « le
caïman ne mange pas les poissons de son propre marigot» seul une espèce crocodilienne
impressionnante vivant à l’ère du jurassique le faisait : Le sarkozycus
imperator. A l’image de ce prédateur public numéro un, BOA n’épargne personne
et s’accapare de tout, il est président de tout, chef de tous et finalement
responsable de rien : Les postes-clés dans la haute administration sont en effet occupés
essentiellement par des hommes et des femmes qui lui sont directement liés. BOA contrôle la Primature, l’Assemblée nationale, le Sénat, le Conseil Economique
et Social (CES), il n’accepte même pas de partager le pouvoir avec un autre
parti membre de sa « Majorité présidentielle ». En plus des institutions
citées ci-dessus, il y a aussi les hauts postes de l’administration centrale réservés
apparemment aux seuls amis du Sarkozycus Imperator : secrétaires généraux de
ministère et adjoints, directeurs généraux et adjoints, directeurs centraux et
adjoints, chefs des corps armés et officiers subalternes, chefs de mission
diplomatique et diplômâtes
Que dire des responsables de l’administration et du secteur parapublic ?
Rien n’échappe à la boulimie du prédateur public N°1.
En effet, le Bureau Politique du PDG nommé par le sarkozycus imperator compte
parmi ses membres :
1/le directeur général du Budget,
2/le directeur général du Contrôle des Ressources et des Charges Publiques,
3/le directeur général de l’ANINF,
4/le directeur général de la Caisse de Stabilisation et de Péréquation
(CAISTAB),
5/le directeur général de la Caisse nationale d’Assurance Maladie et de
Garantie Sociale (CNAMGS),
6/le directeur général de l’Office des Ports et Rades du Gabon (OPRAG)
7/Président Directeur Général de La Poste S.A,
8/ L’Agence nationale des grands travaux
D’autres sont des membres nommés par le dictateur au Conseil national du Parti
démocratique gabonais, sont :
9/ le directeur général du Conseil Gabonais des Chargeurs, du directeur
général de la Compagnie nationale de Navigation intérieure (C2N2I),
10/ le directeur général de la RTG1 (et administrateur provisoire de Gabon
Télévision),
11/ directeur général adjoint chargé de la Radio,
12/ du directeur général de l’Agriculture
13/ directeur général des Impôts.
Cette liste n’est pas exhaustive, car il faut ajouter les agences non
gouvernementales qui sont en fait un gouvernement bis sous la responsabilité directe
d’Accrombessi, Premier Ministre de fait du Gabon.
Les riches immeubles de Bongo Ondimba Ali un des fruits de sa rapine des deniers publiques en quatre ans de prédation. |
Loin de l’Eta-PDG d’Omar Bongo-Ondimba, qui distribuait les postes suivant
une géopolitique étriquée et partisane, reposant sur des parrains à la tête de
chaque province, nous sommes en fait, sous le régime de son fils adoptif à une
personnalisation du pouvoir d’Etat et de son administration : C’est une
autocratie.
En somme, pour être nommé à une fonction de premier plan, il faut faire
allégeance à BOA ou, à tout le moins, s’y encarter dès que l’on est appelé à
occuper un poste. Avec une administration qui dépend du seul autocrate comment
peut-on parler du sens de l’Etat et son esprit d’impartialité. La personnalisation et la politisation
excessive de l’Etat effectivement nuit au bon fonctionnement de
l’administration, car elle lui fait perdre l’essence même de son existence
fondée sur l’égalité des droits devant tous les citoyens.
Dans le Gouvernement qu’il vient de nommer, le Sarkozycus Imperator n’a permit d'y siéger que deux ministres (Fidèle Mengue m’Engouang et Brigitte Mba Anguilet) qui ne
sont pas de son sérail diabolique. De même un responsable du CLR,
parti de «l’oncle d’occasion pressée» nommé ministre de… l’Egalité des
chances. Des postes de moindre importance que l’on pourrait taxer, pour
reprendre les mots de Calixte Belaya, de poste « alibi » pour
justifier une imposture.
Exit l’Etat-PDG à la place l’ETAT-BOA est réel et bel et bien en place !
L’Etat Bongo-Ondimba Ali n’a pas lieu d’être au Gabon.
Les initiales du nom de ce dictateur B.O.A sont prédestinées, un adage Nzébi dit que "le nom de quelqu'un est toujours à côté de son caractère". Il s'appelle BOA du nom d'un reptile du même nom, un prédateur sournois et avide parmi les prédateurs. Pourquoi être surpris par ce caractère de tueur sans pitié qu'il a, un caractère de serpent, sournois et impassible.
BOA comme Bongo-Ondimba Ali: même nom même caractère, prédation extrême |
Les scientifiques qui ont donné le nom Sarkozycus Imperator à ce prédateur
ne se sont pas trompés. Ils ont certainement pensé à l’ex-président français
Sarkozy. La rapacité et la prédation, en tout cas le gout du pouvoir au point
de se prendre pour un empereur de la France, de l‘Europe et de l’Afrique a
probablement prévalu. Il a produit des créatures, «Sarkozycus imperator brutino »
comme BOA, qui gouvernent des peuples contre leurs volontés.
Les Gabonais Libres de Bruxelles (capitale de l’Europe) se mettent en ordre de bataille pour casser cet ordre maléfique du serpent.
Nous nous unirons à tous les gabonaises et tous les gabonais qui s'inscrivent dans cette dynamique du changement.
Les Gabonais Libres de Bruxelles
Nous nous unirons à tous les gabonaises et tous les gabonais qui s'inscrivent dans cette dynamique du changement.
Les Gabonais Libres de Bruxelles
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