Perspectives

mercredi 3 septembre 2014

ONA ONDO a établi une fausse Maitrise à Bongo-Ondimba Ali

 ONA ONDO "La perle rare"  du BOA n'est qu'un tricheur

ONA ONDO, un triste Premier des Minsitres du régime BOA,
qui, comme ses prédecesseurs, ne gouverne rien.
Le docteur en économie Ona Ondo, nommé par article 23 professeur d'économie grâce aux miracles d'Omar Bongo Ondimba, le demi-Dieu qui pouvait faire d'un chien un ministre et d'un ministre un chien, s'avère être un tricheur, un faussaire. Sa promotion actuelle est en fait une récompense, un retour de l'ascenseur de celui que la maitresse du père, présidente à vie de la cour constitutionnelle, a imposé aux gabonais: ci-nommé Bongo-Ondimba Ali (BOA).
Ce dernier n'ayant fait le bac nulle part avait décidé de se pourvoir du titre de docteur en droit. Il lui fallait donc une maitrise en droit. Max Rémondo, à l'époque responsable de la faculté de droit et des sciences économiques, fut sollicité à cet effet par le père Omar Bongo. Ce dernier refusa et parti jusqu'à la démission pour ne pas s'inscrire dans cette imposture qui ne grandissait pas l'université du Gabon. Ona Ondo fut donc nommé à sa place, et comme par magie le BOA de service obtint sa "maitrise en droit" de la faculté de droit et des sciences économiques du Gabon. Entretemps personne ne se souvient, entre 1980 et 1990, avoir partagé le même amphi que le fils adoptif de Bongo-Ondimba Omar. Par ailleurs, la fameuse soutenance d'une thèse rédigée à l'évidence par un éminent professeur français, s'est faite à huis-clos. Personne n'a vu celle-ci depuis lors.
On ne peut donc pas s'étonner de l'excès de zèle d'ONA ONDO pour soutenir l'insoutenable incompétence de Bongo-Ondimba Ali: ce pacte secret les lient, puisqu'il a fabriqué cette imposture et la fiction des études d'un imposteur.

Faux acte de naissance Bongo Ondimba Ali ayant permit à un fils adoptif d'origine étrangère
de se "comporter comme candidat à l'élection présidentielle en violation de l'article 10
de la constitution du gabon. Oeuvre d'Akassaga okinda, faussaire et criminel
BOA est un adepte du mensonge, du faux et de l'usage du faux. Les gabonais se souviennent encore de son faux acte de naissance, établi par un sombre individu du nom d'Akassaga Okinda, ci-devant ex maire CLR du 3eme arrondissement. Cet individu, après avoir été limogé par son mentor, a été recyclé en perturbateur des manifestations de l'opposition y compris à l'étranger pour le compte d'un dictateur en mal de popularité.
Tous ces individus fanatisés qui participent à la validation d'une dictature en produisant du faux, en utilisant les moyens de l'Etat aux fins de pérenniser une imposture, en y commettant assassinats, crimes d'Etat, une prédation sans bornes à la tête de l'Etat sont autant coupables que celui qu'ils protègent.

Voltaire écrivait : « Le fanatisme est à la superstition ce que le délire est à la fièvre, ce que la rage est à la colère. Celui qui a des extases, des visions, qui prend des songes pour des réalités, et ses imaginations pour des prophéties, est un enthousiaste ; celui qui soutient sa folie par le meurtre, est un fanatique. » Voltaire (1694-1778)

Et encore « Lorsqu’une fois le fanatisme a gangréné un cerveau, la maladie est presque incurable » Voltaire (1694-1778)

En fin « Ceux qui peuvent vous faire croire en des absurdités pourront vous faire commettre des atrocités » Voltaire (1694-1778).

Les gabonais doivent se garder d’écouter ou de suivre des personnes comme ONA ONDO, car il est obnubilé par le fanatisme et le respect d’un homme qui n’est élu de personne et qui se sert des lois pour asservir les gabonais.
Montesquieu dans l’esprit des lois écrivait : « Il n'y a point de plus cruelle tyrannie que celle que l'on exerce à l'ombre des lois et avec les couleurs de la justice... ». La tyrannie de BOA est la plus terrible que les gabonais aient connu. Ce dictateur se cache derrière des lois iniques qu’il crée pour gouverner et pour régler des comptes aux adversaires politiques. Pire, il punie le peuple gabonais en précarisant d’avantage les gabonais. Le peu d’infrastructures laisséees par son père sont systématiquement détruits : les hôpitaux, les écoles, les stades, les hôtels n’échappent pas à cette folie destructrice. Et que fait ONA ONDO ? Rien, puisqu’il est là pour appliquer une politique d’un autre âge basée sur le faux.


Jean PING, personnalité forte de l'oposition au Gabon:
 "Je n'ai peur de personne"
 Un homme politique fort, un leader fort, n’a besoin de prouver ni à lui-même ni à son entourage politique ce qui est évident pour tout le monde. Il se sent libre de ses mouvements, participe aux négociations avec ses opposants, cherche à faire comprendre sa position et à comprendre celle de ses interlocuteurs. Il est prêt à faire des compromis raisonnables et parvient toujours à une décision, même dans les situations les plus extrêmes. C’est la situation de Jean PING.


Un homme politique au caractère faible cherche constamment à démontrer à son entourage et à lui-même qu’il n’est pas réellement ce que les autres pensent de lui. Il cherche à prouver sa force, qui en réalité ressemble davantage à de l’obstination. S’il change d’avis après avoir fait une déclaration, il ne fait que prouver sa faiblesse, d’autant plus qu’il évite les négociations d’homme à homme parce qu’il les redoute.

Au lieu de cela, il envoie des émissaires chargés de consignes rigides et inflexibles, trace sans arrêt des lignes rouges, recourt à la menace et aux sanctions, et exige la capitulation de son vis-à-vis : c’est là un mode de négociation vain et contre-productif. En effet, la capitulation ne saurait être acceptée par aucune nation qui se respecte.
Par conséquent, l’homme politique faible a tendance à précipiter immédiatement la situation dans un conflit au lieu de trouver une solution. Il n’agit ainsi que pour prouver, à lui-même et à autrui, sa puissance illusoire, et pour cela il est prêt à sacrifier des milliers de vies humaines. Il est prompt à imposer des sanctions qui causeront la souffrance de millions d’êtres humains. Ce faisant, il ne nuit pas seulement au partenaire-opposant, mais aussi à son propre pays. C’est ici le cas typique de Bongo-Ondimba Ali.

 C’est pourquoi les actions contre les leaders de l’opposition ne se contenteront pas de frapper l’ennemi opposant: elles fraperont également les Émergents qui n'ont pas la moindre crédibilité, mais aussi l’ensemble du peuple gabonais des bienfaits d’une alternance apaisée. Tout cela pour prouver une chose et une seule : qu’il n’est pas un président faible. Le BOA a délibérément œuvré pour former une coalition gouvernementale qui ne reconnaît pas les droits du peuple. Et cela contredit le principe même qui a été érigé par son propre prédécesseur de père.

Gabonaises et gabonais lutterons de toutes nos forces contre tous les obscurantismes criminels en émergence de BOA et ses complices.


Jean Ndouanis
 
 

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