mardi 27 septembre 2016

Marc ONA ESSANGUI: Trahison de la communauté internationale

J'ai pris quelques jours pour cogiter à la suite des faits inédits que notre vaillant peuple vient de vivre en direct. Un peuple victime de son courage et qui n a pas succombé à la corruption de la famille régnante qui a le faux et la fraude dans son ADN.
Je ne vais pas revenir sur ce qui a été vécu comme des séries de trahisons. Je voudrais juste dire aux uns et aux autres que pour une fois je suis d'accord avec ceux qui pensent que nous ne pouvons plus rien attendre du bulletin de vote dans notre pays quelque soit le dialogue, des réformes et autres poudres à nos yeux pour nous endormir tant que ceux qui voudraient passer en force par les armes, les escadrons de la mort et la falsification des chiffres par la cour constitutionnelle s'accrochent au pouvoir.
Ce qui est encore plus révoltant c'est de lire que l'ONU prend acte du faux, des crimes, du passage en force et demande le dialogue. Ce ne sont pas des félicitations des membres du syndicat des dictateurs africains qui me surprennent, c'est le contraire qui m'aurait surpris, ce qui me révolte c'est le communiqué de l'ambassadeur des USA caressant le coup de force électoral dans le sens du poil. Ces américains dont le président a claironner que l'Afrique n'a pas besoin d'hommes politiques forts mais les institutions fortes. La Cour Constitutionnelle est elle une institution forte pour valider sa décision ? Pourquoi ne pas avoir validé la décision du conseil constitutionnel validant l'élection de Laurent Gbagbo ? Je refuse cette hypocrisie.
Je refuse de penser que la démocratie est un luxe pour les africains noirs d'Afrique centrale. Ali Bongo peut tout se permettre et massacrer les gabonais, le monde entier prendra acte. Kabila fera autant, et le monde entier montera au créneau pour exiger le respect de la légalité du bout des lèvres mais prendra pas acte. Tout comme le Dieu du Burundi et autres Kagame et le monde entier prendra acte.
Le peuple gabonais aussi prend acte de la complicité de la communauté internationale dans le radicalisme des peuples opprimés qui conduit au phénomène du terrorisme et à l'immigration incontrôlée.
Le peuple prend acte de la promotion du faux et de la corruption dans nos états par cette même communauté internationale pour des intérêts économiques.
Le peuple prend acte de son statut de peuple orphelin et qui devrait dorénavant prendre son destin en main.
Il y a eu un avant 27 août 2016. Il y a un après. Nous nous engageons à nous organiser autrement pour libérer notre cher pays et son vaillant peuple.
Depuis 1990 nous avons cru à la force du bulletin de vote pour arriver à l'alternance au sommet de l'Etat. Nous n'avons jamais failli à cette noble mission. Mais avec la communauté internationale qui pour beaucoup d'entre nous devrait être notre allié dans cette valeur démocratique et qui vient de nous trahir nous concluons clairement Le vote ne sert définitivement plus à rien dans ce pays.



https://www.facebook.com/photo.php?fbid=10210359121836307&set=a.3457192310455.167473.1290298314&type=3

lundi 26 septembre 2016

Collectif Gabon Démocratie dénonce L’ILLÉGALITÉ de la proclamation de réélection d'Ali Bongo Ondimba


Le 23.09.2016, la Cour Constitutionnelle gabonaise s'est une fois de plus, une fois de trop adonnée à un exercice qu'elle apprécie plus que tout: la tricherie électorale.

Mais cette année est l'année de trop d'autant que la décision qui est rendue dans la nuit du 23.09.2016 est ABSOLUMENT ILLÉGALE.

Notre Collectif Gabon Démocratie inscrit dans la lutte pour le respect de l'Etat de droit au Gabon dénonce avec la plus grande fermeté et rigueur la réélection d'Ali Bongo Ondimba et ce à plusieurs titres.

La modification des résultats électoraux, telle que mise en oeuvre par la Cour Constitutionnelle et les motifs ayant fondé sa décision emporte bien plus de conséquences qu'il n'y parait et oblige tous les acteurs présents au Gabon à marquer le pas sur cette déclaration.

En effet pour justifier de la victoire d'Ali Bongo Ondimba, la Cour, à travers sa Présidente annonce sans état d'âme avoir annulé, à la demande d'Ali Bongo Ondimba les résultats de 21 bureaux de vote de Libreville considérés comme truqués par le Président sortant. CECI EST UNE ANOMALIE GRAVE, UNE VIOLATION MANIFESTE DES TEXTES CONSTITUTIONNELS DE NATURE A FAIRE ANNULER LA DÉCISION LITIGIEUSE. Pris ensemble les art. 83 a) 83 b) et 84 de la loi organique de la Cour Constitutionnelle prévoient que lorsque des scrutins sont annulés, le Ministère de l'Intérieur réorganise les scrutins annulés!!!! Il ne s'agit nullement d'une option, mais d'une obligation légale. En d'autres termes, l'annulation des 21 bureaux de vote devait nécessairement être suivie d'une annonce par le Ministre de l'Intérieur Pacôme Moubelet Boubeya d'un délai au terme duquel de nouvelles opérations électorales devaient être mises sur pied. La proclamation directe de la réélection ne DEVAIT ABSOLUMENT PAS INTERVENIR A CE STADE!!!

Ainsi, une Cour Constitutionnelle qui proclame nuitamment des résultats présidentiels alors que ces derniers ont fait l'objet d'annulation, viole les textes de la loi organique de la Cour Constitutionnelle relatifs au contentieux électoral. D'autant que dans ce domaine, c'est bien la loi organique qui prévaut et non le Code Électoral. En cela l'annonce du 23.09.2016 est une annonce illégale qui ne peut et ne doit emporter de conséquence pour le peuple gabonais, et pour la communauté internationale.

En outre, les conséquences de cette annulation des scrutins de Libreville sont autrement plus graves. Annuler un scrutin sans le réorganiser, c'est retirer aux électeurs concernés le droit de prendre part à la gestion des affaires publiques de la Nation. Plus précisément,en reniant aux électeurs librevillois en cause leur droit de vote, Ali Bongo Ondimba et Marie-Madeleine Mborantsouo leur renient tout simplement la QUALITÉ DE CITOYEN!!! Car qu'est ce qu'un citoyen sinon une personne jouissant des droits civils et politiques ET NOTAMMENT LE DROIT DE VOTE! (Déf. Dictionnaire Larousse). Ainsi, en représailles pour avoir massivement voté pour Jean Ping, Ali Bongo Ondimba et Marie-Madeleine Mborantsouo, décident de façon totalement arbitraire qui est ou non citoyen gabonais??!!!! Ces personnes qui perdent ainsi leur qualité de citoyen se retrouvent de facto mises au ban de la société, de la nation Gabon??!!! Et nous devons laisser stigmatiser et marginaliser des hommes et des femmes qui, en pleine possession de leurs facultés mentales, ont décidé, malgré le climat de tricherie généralisé, d'exercer ce droit qui est reconnu par tous les grands textes universels sur lesquels sont bâties les nations démocratiques de ce monde!!! Ali Bongo Ondimba et Marie-Madeleine Mborantsouo reviennent même sur ce principe universel d'égalité de tous devant la loi!!!

Enfin, la mise au ban des gabonais de Libreville, soulignons-le, pour le seul vote à Jean Ping- REMET TOTALEMENT EN CAUSE L’UNITÉ ET L’INDIVISIBILITÉ DE LA RÉPUBLIQUE GABONAISE!!!Le processus entier du contentieux électoral, vous le savez, a été jalonné de fraudes et autres manigances du pouvoir. Mais la décision du 23.09.2016 est de nature à porter atteinte à ce que le peuple gabonais a de plus cher SON UNITÉ ET SON INDIVISIBILITÉ; Le Gabon est l'un des rares pays d'Afrique composé d'autant d'ethnies différentes et sans avoir jamais connu de troubles ethniques. La paix et l'indivisibilité du Gabon sont un héritage précieux qu'il faut défendre à tout prix.

Aussi compte-tenu de tout ce qui précède, il nous paraît inopportun, voire impossible pour la communauté internationale de s'inscrire dans ce processus de désintégration programmé de l'unité du Gabon.

Il nous paraît impossible que la communauté internationale s'inscrive dans ce climat de peur orchestré par le seul détenteur de la violence d'Etat, faisant ainsi de Libreville et Port-Gentil des prisons à ciel ouvert.

Il nous paraît impossible que la Communauté internationale reconnaisse la réélection d'Ali Bongo Ondimba.
 


Ps : Ci après textes constitutionnels loi organique de la Cour Constitutionnelle : 
Article 83a (loi n°003/03 du 2 juin 2003)
Si les opérations électorales sont déclarées nulles par l’application de l’une des dispositions prévues aux articles 81 et 82 de la présente loi organique, l’annulation s’étend, selon le cas, à toute la section ou à toute la circonscription électorale.
En outre, la Cour constitutionnelle communique, la cas échéant, le dossier au Procureur de la République compétent, qui s’exécute dans les délais requis par celle-ci.
Article 83b (loi n°003/03 du 2 juin 2003)
En cas de condamnation, le ou les coupables et leurs complices sont frappés d’inéligibilité pour la prochaine élection politique.En cas d’annulation des opérations électorales, la Cour constitutionnelle peut également prononcer l’inéligibilité de la ou des personnes impliquées dans les faits ayant entraîné l’annulation.
Article 84 (loi n°13/94 du 17 septembre 1994)

La décision est notifiée aux parties et au Ministre chargé de l’Intérieur qui, en cas d’annulation, prend toutes les dispositions pour le renouvellement des opérations électorales.La personne élue, dont l’élection est annulée, reste éligible à l’élection partielle qui est organisée en conséquence.

Les escadrons de la mort de Bongo-Ondimba Ali (BOA)

 
 
 
 
 

Une œuvre des escadrons de la mort, ce jeune lycéen n'a plus d'avenir
 

 


Collectif Gabon Démocratie dénonce L’ILLÉGALITÉ de la proclamation de réélection d'Ali Bongo Ondimba


Le 23.09.2016, la Cour Constitutionnelle gabonaise s'est une fois de plus, une fois de trop adonnée à un exercice qu'elle apprécie plus que tout: la tricherie électorale.

Mais cette année est l'année de trop d'autant que la décision qui est rendue dans la nuit du 23.09.2016 est ABSOLUMENT ILLÉGALE.

Notre Collectif Gabon Démocratie inscrit dans la lutte pour le respect de l'Etat de droit au Gabon dénonce avec la plus grande fermeté et rigueur la réélection d'Ali Bongo Ondimba et ce à plusieurs titres.

La modification des résultats électoraux, telle que mise en oeuvre par la Cour Constitutionnelle et les motifs ayant fondé sa décision emporte bien plus de conséquences qu'il n'y parait et oblige tous les acteurs présents au Gabon à marquer le pas sur cette déclaration.

En effet pour justifier de la victoire d'Ali Bongo Ondimba, la Cour, à travers sa Présidente annonce sans état d'âme avoir annulé, à la demande d'Ali Bongo Ondimba les résultats de 21 bureaux de vote de Libreville considérés comme truqués par le Président sortant. CECI EST UNE ANOMALIE GRAVE, UNE VIOLATION MANIFESTE DES TEXTES CONSTITUTIONNELS DE NATURE A FAIRE ANNULER LA DÉCISION LITIGIEUSE. Pris ensemble les art. 83 a) 83 b) et 84 de la loi organique de la Cour Constitutionnelle prévoient que lorsque des scrutins sont annulés, le Ministère de l'Intérieur réorganise les scrutins annulés!!!! Il ne s'agit nullement d'une option, mais d'une obligation légale. En d'autres termes, l'annulation des 21 bureaux de vote devait nécessairement être suivie d'une annonce par le Ministre de l'Intérieur Pacôme Moubelet Boubeya d'un délai au terme duquel de nouvelles opérations électorales devaient être mises sur pied. La proclamation directe de la réélection ne DEVAIT ABSOLUMENT PAS INTERVENIR A CE STADE!!!

Ainsi, une Cour Constitutionnelle qui proclame nuitamment des résultats présidentiels alors que ces derniers ont fait l'objet d'annulation, viole les textes de la loi organique de la Cour Constitutionnelle relatifs au contentieux électoral. D'autant que dans ce domaine, c'est bien la loi organique qui prévaut et non le Code Électoral. En cela l'annonce du 23.09.2016 est une annonce illégale qui ne peut et ne doit emporter de conséquence pour le peuple gabonais, et pour la communauté internationale.

En outre, les conséquences de cette annulation des scrutins de Libreville sont autrement plus graves. Annuler un scrutin sans le réorganiser, c'est retirer aux électeurs concernés le droit de prendre part à la gestion des affaires publiques de la Nation. Plus précisément,en reniant aux électeurs librevillois en cause leur droit de vote, Ali Bongo Ondimba et Marie-Madeleine Mborantsouo leur renient tout simplement la QUALITÉ DE CITOYEN!!! Car qu'est ce qu'un citoyen sinon une personne jouissant des droits civils et politiques ET NOTAMMENT LE DROIT DE VOTE! (Déf. Dictionnaire Larousse). Ainsi, en représailles pour avoir massivement voté pour Jean Ping, Ali Bongo Ondimba et Marie-Madeleine Mborantsouo, décident de façon totalement arbitraire qui est ou non citoyen gabonais??!!!! Ces personnes qui perdent ainsi leur qualité de citoyen se retrouvent de facto mises au ban de la société, de la nation Gabon??!!! Et nous devons laisser stigmatiser et marginaliser des hommes et des femmes qui, en pleine possession de leurs facultés mentales, ont décidé, malgré le climat de tricherie généralisé, d'exercer ce droit qui est reconnu par tous les grands textes universels sur lesquels sont bâties les nations démocratiques de ce monde!!! Ali Bongo Ondimba et Marie-Madeleine Mborantsouo reviennent même sur ce principe universel d'égalité de tous devant la loi!!!

Enfin, la mise au ban des gabonais de Libreville, soulignons-le, pour le seul vote à Jean Ping- REMET TOTALEMENT EN CAUSE L’UNITÉ ET L’INDIVISIBILITÉ DE LA RÉPUBLIQUE GABONAISE!!!Le processus entier du contentieux électoral, vous le savez, a été jalonné de fraudes et autres manigances du pouvoir. Mais la décision du 23.09.2016 est de nature à porter atteinte à ce que le peuple gabonais a de plus cher SON UNITÉ ET SON INDIVISIBILITÉ; Le Gabon est l'un des rares pays d'Afrique composé d'autant d'ethnies différentes et sans avoir jamais connu de troubles ethniques. La paix et l'indivisibilité du Gabon sont un héritage précieux qu'il faut défendre à tout prix.

Aussi compte-tenu de tout ce qui précède, il nous paraît inopportun, voire impossible pour la communauté internationale de s'inscrire dans ce processus de désintégration programmé de l'unité du Gabon.

Il nous paraît impossible que la communauté internationale s'inscrive dans ce climat de peur orchestré par le seul détenteur de la violence d'Etat, faisant ainsi de Libreville et Port-Gentil des prisons à ciel ouvert.

Il nous paraît impossible que la Communauté internationale reconnaisse la réélection d'Ali Bongo Ondimba.
 

Ps : Ci après textes constitutionnels loi organique de la Cour Constitutionnelle : 
Article 83a (loi n°003/03 du 2 juin 2003)
Si les opérations électorales sont déclarées nulles par l’application de l’une des dispositions prévues aux articles 81 et 82 de la présente loi organique, l’annulation s’étend, selon le cas, à toute la section ou à toute la circonscription électorale.
En outre, la Cour constitutionnelle communique, la cas échéant, le dossier au Procureur de la République compétent, qui s’exécute dans les délais requis par celle-ci.
Article 83b (loi n°003/03 du 2 juin 2003)
En cas de condamnation, le ou les coupables et leurs complices sont frappés d’inéligibilité pour la prochaine élection politique.En cas d’annulation des opérations électorales, la Cour constitutionnelle peut également prononcer l’inéligibilité de la ou des personnes impliquées dans les faits ayant entraîné l’annulation.
Article 84 (loi n°13/94 du 17 septembre 1994)

La décision est notifiée aux parties et au Ministre chargé de l’Intérieur qui, en cas d’annulation, prend toutes les dispositions pour le renouvellement des opérations électorales.La personne élue, dont l’élection est annulée, reste éligible à l’élection partielle qui est organisée en conséquence.

Les escadrons de la mort de Bongo-Ondimba Ali (BOA)

 
 
 
 
 

Une œuvre des escadrons de la mort, ce jeune lycéen n'a plus d'avenir
 

 


samedi 24 septembre 2016

Crime de masse par les soldats et milices d’Ali Bongo Ondimba


CRISE POST ELECTORALE AU GABON :
Le rôle des propriétaires et responsables des pompes funèbres CASEP-GA

Ce salon funéraire doté d’une morgue  située au nord de Libreville revient régulièrement dans les différents témoignages relatifs à la crise post électorale au Gabon et notamment  aux crimes de masse commis par les soldats et milices d’Ali Bongo Ondima ces dernières semaines dans la région de Libreville.

Il est à noté que , Casep-GA appartient à madame AKANI MONIQUE pharmacienne de nationalité Gabonaise , originaire d’Akiéni et cousine Directe de Joséphine KAMA alias Patience Dabany la mère ( adoptive ? ) d’Ali Bongo Ondimba . AKANI MONIQUE est donc la tante de Mr Ali Bongo Ondimba.

Les gabonais ont notamment pu voir Mme AKANI MONIQUE s’illustrer sur les plateaux de télévision aux côté de Joséphine KAMA , de son frère ASSELE O’TEINTÉ Jean Boniface et d’autres membres de la famille de Mr Ali Bongo Ondimba lorsque ceux ci s’évertuaient à tenter de convaincre ( en vain ?) le peuple gabonais  des origines téké de ce dernier et non Biafraise comme l’affirment un certain nombre de personnes .

Ainsi donc il apparaît que Mme AKANI MONIQUE aurait jouer un rôle de complicité / coordination avec son neveu Ali Bongo Ondimba dans les crimes de masse qui furent perpétrés   dans la province de l’Estuaire essentiellement la ville de Libreville rôle qui aurait consisté à la dissimulation dans son établissement funéraire des corps sans vie de dizaines de gabonaises et gabonais  .

En effet Casep –GA sera durant ces événement placée sous le contrôle stricte des soldats de la Garde Républicaine empêchant tout accès à toute personne non autorisée.







Effectivement, une équipe de journalistes de TV5 monde conduite par madame ILHAME s’est  vu refuser l’accès à cette morgue et a pu constater le dispositif militaire susmentionné.

mardi 13 septembre 2016

Mborantsuo a choisi le chaos à la sagesse: Le coup d'Etat Electoral de AliBongo-Mborantsuo-Aboghe

Des informations de plus en plus prégnantes font apparaitre que la Cour Constitutionnelle, Mborantsuo a décidé, comme d'habitude, de rendre le recours de Jean Ping irrecevable et de  proclamer Ali Bongo en confirmant la fraude grossière décriée par le monde entier. Le jour retenu c'est vendredi 16/09/2016 pour permettre la répression et les assassinats tout le week-end.

L'histoire se répète, les mêmes acteurs auteurs du cour d'Etat de 2009 reviennent à la charge. Le scénario est le même, falsification des PV dans le haut-Ogooué, rejet de tout recours, répression massive des populations, etc, tout y passe.

En 2009 pour s'imposer aux gabonais, il a fait assassiné 84 personnes et 331 portés disparus, 1000 blessés et 500 séquestrations arbitraires. 

En 2016 nous dépassons, rien que pour Libreville 200 morts, Port-Gentil 100 morts selon un citoyen français en poste dans cette ville. Bitam dont l'opération d'assassinat est en cours à déjà perdu 20 personnes, et au moment ou j'écris ces lignes, la garde du dictateur qui n'est républicaine que de nom, est entrain de prendre d'assaut l'hôtel Dicky à Oyem.  De nombreux militants et sympathisants de Jean Ping s'y sont réfugiés. Ce n'est pas un plaisir de faire ce décompte macabre mais le nombre de victimes a atteint les 500 morts dans tout le Gabon selon certaines estimations. A cela il faut ajouter les portés disparus qui sont au nombre de 400 personnes au vu des témoignages des parents, 1100 arrestations arbitraires, 1800 blessés, les morgues et la croix rouge sont débordés. Les morgues des barons du régime refusent de donner les chiffres exactes et les victimes, quant à celle de l'hôpital général de Libreville, les travailleurs s'accordent à dire que toute leur existence ils n'ont jamais vu tant de morts par balles. 

Partout dans tout le Gabon les gabonais sont debout, les routes sont coupés, les barrages sont érigés, les ponts sont barrés, personne ne travaille. Les gabonais de la diaspora ne sont pas en reste avec leurs marches Seat-in bandoulières et pancartes, chants et hymne du Gabon, Paris, Bruxelles, New-York Washington, Houston, Johannesburg,  Montréal, etc ne sont pas en reste. Les réseaux sociaux s'enflamment contre le régime de dictature, bref. C'est bien plus qu'un simple soulèvement d'humeur, c'est bien plus qu'une simple insurrection populaire, c'est un véritable soulèvement générale et spontanée de la population c'est une révolution. Un calme apparent perdure en attendant le verdict de la CC.

Ce qui s'est passé le 31 août 2016 à l'annonce des résultats tronqués et tripatouillés du ministre de l'intérieur du régime n'est que la prémisse d'un soulèvement plus important si ces informations se confirment.
Ce que Mborantsuo et Ali Bongo ont choisi c'est de s'imposer par la violence et la guerre en tuant des citoyens. Ils sont entrain d'inscrire le Gabon, qui ne l'a jamais connu, dans le registre d'une guerre civile. Ils en portent la lourde responsabilité.

Certes le devoir le plus sacré de chaque citoyen est de défendre sa vie, sa famille, sa terre son pays. Mais défendre son pays est encore plus sacré que défendre sa vie, car sans pays point d'identité, point de vie, point d'existence en tant qu'homme libre. C'est pourquoi pour s'imposer aux gabonais il devra nous passer tous sur le corps.

Je ne veux pas transformer une information sure venant de la CC en vérité, mais le but c'est de demander aux patriotes gabonais et au peuple à se préparer à une autre imposture et à se défendre contre les crimes planifiés par le régime.



Mborantsuo a choisi le chaos à la sagesse: Le coup d'Etat Electoral de AliBongo-Mborantsuo-Aboghe

Des informations de plus en plus prégnantes font apparaitre que la Cour Constitutionnelle, Mborantsuo a décidé, comme d'habitude, de rendre le recours de Jean Ping irrecevable et de  proclamer Ali Bongo en confirmant la fraude grossière décriée par le monde entier. Le jour retenu c'est vendredi 16/09/2016 pour permettre la répression et les assassinats tout le week-end.

L'histoire se répète, les mêmes acteurs auteurs du cour d'Etat de 2009 reviennent à la charge. Le scénario est le même, falsification des PV dans le haut-Ogooué, rejet de tout recours, répression massive des populations, etc, tout y passe.

En 2009 pour s'imposer aux gabonais, il a fait assassiné 84 personnes et 331 portés disparus, 1000 blessés et 500 séquestrations arbitraires. 

En 2016 nous dépassons, rien que pour Libreville 200 morts, Port-Gentil 100 morts selon un citoyen français en poste dans cette ville. Bitam dont l'opération d'assassinat est en cours à déjà perdu 20 personnes, et au moment ou j'écris ces lignes, la garde du dictateur qui n'est républicaine que de nom, est entrain de prendre d'assaut l'hôtel Dicky à Oyem.  De nombreux militants et sympathisants de Jean Ping s'y sont réfugiés. Ce n'est pas un plaisir de faire ce décompte macabre mais le nombre de victimes a atteint les 500 morts dans tout le Gabon selon certaines estimations. A cela il faut ajouter les portés disparus qui sont au nombre de 400 personnes au vu des témoignages des parents, 1100 arrestations arbitraires, 1800 blessés, les morgues et la croix rouge sont débordés. Les morgues des barons du régime refusent de donner les chiffres exactes et les victimes, quant à celle de l'hôpital général de Libreville, les travailleurs s'accordent à dire que toute leur existence ils n'ont jamais vu tant de morts par balles. 

Partout dans tout le Gabon les gabonais sont debout, les routes sont coupés, les barrages sont érigés, les ponts sont barrés, personne ne travaille. Les gabonais de la diaspora ne sont pas en reste avec leurs marches Seat-in bandoulières et pancartes, chants et hymne du Gabon, Paris, Bruxelles, New-York Washington, Houston, Johannesburg,  Montréal, etc ne sont pas en reste. Les réseaux sociaux s'enflamment contre le régime de dictature, bref. C'est bien plus qu'un simple soulèvement d'humeur, c'est bien plus qu'une simple insurrection populaire, c'est un véritable soulèvement générale et spontanée de la population c'est une révolution. Un calme apparent perdure en attendant le verdict de la CC.

Ce qui s'est passé le 31 août 2016 à l'annonce des résultats tronqués et tripatouillés du ministre de l'intérieur du régime n'est que la prémisse d'un soulèvement plus important si ces informations se confirment.
Ce que Mborantsuo et Ali Bongo ont choisi c'est de s'imposer par la violence et la guerre en tuant des citoyens. Ils sont entrain d'inscrire le Gabon, qui ne l'a jamais connu, dans le registre d'une guerre civile. Ils en portent la lourde responsabilité.

Certes le devoir le plus sacré de chaque citoyen est de défendre sa vie, sa famille, sa terre son pays. Mais défendre son pays est encore plus sacré que défendre sa vie, car sans pays point d'identité, point de vie, point d'existence en tant qu'homme libre. C'est pourquoi pour s'imposer aux gabonais il devra nous passer tous sur le corps.

Je ne veux pas transformer une information sure venant de la CC en vérité, mais le but c'est de demander aux patriotes gabonais et au peuple à se préparer à une autre imposture et à se défendre contre les crimes planifiés par le régime.



Mborantsuo a choisi le chaos à la sagesse: Le coup d'Etat Electoral de AliBongo-Mborantsuo-Aboghe

Des informations que nous avons de la Cour Constitutionnelle, Mborantsuo a décidé, comme d'habitude, de rendre le recours de Jean Ping irrecevable et de  proclamer Ali Bongo en confirmant la fraude grossière décriée par le monde entier. Le jour retenu c'est vendredi 16/09/2016 pour permettre la répression et les assassinats tout le week-end.

L'histoire se répète, les mêmes acteurs auteurs du cour d'Etat de 2009 reviennent à la charge. Le scénario est le même, falsification des PV dans le haut-Ogooué, rejet de tout recours, répression massive des populations, etc, tout y passe.

En 2009 pour s'imposer aux gabonais, il a fait assassiné 84 personnes et 331 portés disparus, 1000 blessés et 500 séquestrations arbitraires. 

En 2016 nous dépassons, rien que pour Libreville 200 morts, Port-Gentil 100 morts selon un citoyen français en poste dans cette ville. Bitam dont l'opération d'assassinat est en cours à déjà perdu 20 personnes, et au moment ou j'écris ces lignes, la garde du dictateur qui n'est républicaine que de nom, est entrain de prendre d'assaut l'hôtel Dicky à Oyem.  De nombreux militants et sympathisants de Jean Ping s'y sont réfugiés. Ce n'est pas un plaisir de faire ce décompte macabre mais le nombre de victimes a atteint les 500 morts dans tout le Gabon selon certaines estimations. A cela il faut ajouter les portés disparus qui sont au nombre de 400 personnes au vu des témoignages des parents, 1100 arrestations arbitraires, 1800 blessés, les morgues et la croix rouge sont débordés. Les morgues des barons du régime refusent de donner les chiffres exactes et les victimes, quant à celle de l'hôpital général de Libreville, les travailleurs s'accordent à dire que toute leur existence ils n'ont jamais vu tant de morts par balles. 

Partout dans tout le Gabon les gabonais sont debout, les routes sont coupés, les barrages sont érigés, les ponts sont barrés, personne ne travaille. Les gabonais de la diaspora ne sont pas en reste avec leurs marches Seat-in bandoulières et pancartes, chants et hymne du Gabon, Paris, Bruxelles, New-York Washington, Houston, Johannesburg,  Montréal, etc ne sont pas en reste. Les réseaux sociaux s'enflamment contre le régime de dictature, bref. C'est bien plus qu'un simple soulèvement d'humeur, c'est bien plus qu'une simple insurrection populaire, c'est un véritable soulèvement générale et spontanée de la population c'est une révolution. Un calme apparent perdure en attendant le verdict de la CC.

Ce qui s'est passé le 31 août 2016 à l'annonce des résultats tronqués et tripatouillés du ministre de l'intérieur du régime n'est que la prémisse d'un soulèvement plus important si ces informations se confirment.
Ce que Mborantsuo et Ali Bongo ont choisi c'est de s'imposer par la violence et la guerre en tuant des citoyens. Ils sont entrain d'inscrire le Gabon, qui ne l'a jamais connu, dans le registre d'une guerre civile. Ils en portent la lourde responsabilité.

Certes le devoir le plus sacré de chaque citoyen est de défendre sa vie, sa famille, sa terre son pays. Mais défendre son pays est encore plus sacré que défendre sa vie, car sans pays point d'identité, point de vie, point d'existence en tant qu'homme libre. C'est pourquoi pour s'imposer aux gabonais il devra nous passer tous sur le corps.

Je ne veux pas transformer une information sure venant de la CC en vérité, mais le but c'est de demander aux patriotes gabonais et au peuple à se préparer à une autre imposture et à se défendre contre les crimes planifiés par le régime.



dimanche 11 septembre 2016

Ali Bongo-Ondimba un bon élève d'Hitler

Les méthodes Nazi d'Ali Bongo: assassinats, enlèvements et disparitions sous le régime du dictateur
Depuis l'installation de l'imposture au Gabon en 2009 les assassinats, les enlèvements et les disparitions deviennent une norme que les gabonais subissent au quotidien.
Le jeune étudiant KEDE Michel Bekalé assassiné par la garde présidentielle lors de son attaque du QG de Jean Ping
Son corps a été emporté et retrouvé plus tard criblé de balles à la morgue de Libreville
L'empoisonnent des adversaires Politiques est la marque de fabrique du régime Ali Bongo. Après Pierre Mamboundou et Mba Obame, la liste est longue s'il faut ajouter les victimes des crimes rituels dans le tableau de chasse humaine d'Ali Bongo.
Une dénonciation anonyme, la police politique du régime, des miliciens en cagoules viennent à trois heures du matin, se saisissent d’un homme qui, menotté, les mains derrière le dos, est jeté dans un camion, au milieu des pleurs de la famille à laquelle on impose le silence. Et cet homme, nul ne le reverra plus jamais. Souvent il ignore de quoi il est accusé. D’autres enlèvements se font la nuit au détour d’une rue sombre, en rentrant chez soi le soir. Vous êtes interpellé par des inconnus, on vous embarque dans un véhicule banalisé, et personne ne saura ou vous trouver. D'autres lors des manifestations, sont enlevés par des miliciens en cagoules, ne sont jamais retrouvés. L'attaque du 31/08/2016 du QG du Président élu Jean Ping n'a pas fait exception à cette méthode Nazi.
Comme lors du coup d'Etat d'Ali Bongo de 2009 ou 331 personnes sont portées disparues jusqu'à ce jour, les enlèvements et disparitions de cette année, outre les 1100 séquestrations arbitraires, les familles se plaignent de la disparition de près de 400 personnes qui ne sont pas dans les prisons officielles du régime.
Ali Bongo applique les préceptes du maréchal Wilhem von Keitel, chef du haut commandement allemand. En effet ce nazi édicta une directive appelée "Nacht und Nebel", en français, Nuit et Brouillard. Convaincu qu’avec une sentence de mort ou un assassinat politique on crée des martyres, Hitler ordonna qu’à l’exception des cas où la culpabilité pouvait être établie sans le moindre doute, toute personne arrêtée pour atteinte présumée à la sûreté allemande devrait être transférée en Allemagne «sous le couvert de la nuit». Keitel indiquait, ainsi, dans sa directive émise en février 1942 :
[…] Les prisonniers seront transportés secrètement en Allemagne […] Ces mesures auront un effet dissuasif car : a) les prisonniers disparaîtront sans laisser de trace ; b) il ne pourra être donné aucune information sur le lieu où ils se trouveront ni sur leur sort .
« Une intimidation efficace », avait dit Keitel dans une directive du 12 décembre 1941, «ne peut être assurée que par la peine de mort ou par des mesures empêchant la famille du criminel et la population de savoir ce qu’il est devenu».

Une chasse systématique de tous ceux qui portaient
 le tee-shirt du Président élu Jean Ping
Ali Bongo-Ondimba applique à la perfection cette directive Nazi et bien d'autres méthodes criminelles inhumaines pour se maintenir au pouvoir. Les corps des personnes tuées sont embarqués pour les faire disparaître, les scènes des crimes sont nettoyées pour effacer toutes traces et toutes pièces ou indices permettant de faire une enquête sérieuse. Puis les forces officielles de police et de gendarmerie sont envoyées sur les lieux pour donner une texture légale sous la couverture de la loi.

L'incendie du Reichstag en 1933 par Hitler n'avait d'autres buts que d'instaurer une répression par l'épuration politique de ses adversaires et des juifs. De même, il est désormais avéré que l'incendie du parlement gabonais à été l'œuvre des mercenaires à la solde d'Ali Bongo Ondimba pour justifier l'assaut du QG d'un adversaire politique par sa garde présidentielle avec des armes de guerre.
Ali Bongo-Ondimba a perdu les élections, tout le monde le sait, mais il n'est pas près de lâcher le pouvoir. Il se serait ouvert à un de ses proches en disant que s'il n'est pas reconnu Président, le Rwanda sera une petite balade de santé par rapport à ce qu'il va faire. Si c'est réellement ce qu'il pense, il se trompe d'époque, car les gabonais ne le laisseront pas faire.
Pour toi et les autres, nous nierons ceux qui ont inscrit notre pays
au musée de la honte. Répose en paix

Recherché par sa famille ce jeune étudiant a été enlevé par l'armée
 privée d'Ali Bongo la GR au QG de Jean Ping. Il a été retrouvé mort criblé de balles.

Cour Constitutionnelle: le choix entre la sagesse et le chaos


Le recours à la cour constitutionnelle telle que demandé par nos partenaires occidentaux est l'ultime chance donnée aux neuf juges de cette institution pour sauvegarder les vies et sauver la paix.
Aller contre l'évidente réalité des urnes est un crime contre la paix, qui par voie de conséquence découlera la guerre civile et son corollaire de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité. Au moment d'analyser les pv et l'unique requête déposée dans les délais légaux par Jean Ping, les neuf juges doivent être conscients de leurs grandes responsabilités devant le peuple, devant la communauté internationale et devant l'histoire.
Cela n'a échappé à personne que les résultats de la CENAP provinciale du Haut -Ogooue ne sont qu'une manipulation grossière des chiffres pour rattraper le retard d'Ali Bongo sur Jean Ping.
La lecture des PV des bureaux de vote fait apparaître plus de 10 000 abstentions, loin des 50 officiellement annoncées.
Dans un communiqué la Mission européenne rappelait également que « l’abstention observée dans l’une des quinze commissions électorales locales est à elle seule supérieure à l’abstention déclarée par la Cénap pour l’ensemble de la province. L’intégrité des résultats provisoires dans cette province est par conséquence remise en cause ».
Si les 9 juges de la Cour Constitutionnelle vont contre cette évidente réalité, c'est que cette institution a choisi le pis-aller. Elle en portera la responsabilité. L'illustration ci-dessous est la caricature même de la situation d''Ali Bongo et des juges de la CC. Ils sont attendus par le peuple à la base et repoussé par la communauté internationale au sommet. Il n'ont pas d'autres choix que le choix de la sagesse.