dimanche 30 mars 2014

L'Etat Bongo-Ondimba Ali (BOA) en guerre conte les gabonais?

Comme tout constrictor BOA entrave le développement du pays pour qu’il n’émerge pas enfin de prolonger sa propre existence à la tête du Gabon. Autrement dit, il usurpe le pouvoir et les biens du peuple pour assouvir ses propres lubies.


Au nom d’une paranoïa, BOA a mis le peuple sur écoute. Les conversations téléphoniques sont écoutées, les faits et gestes des gabonais sont épiés par des cameras, les e-mails, les réseaux sociaux sont sous surveillance, et souvent bloqués, la téléphonie mobile est sous contrôle et peut être bloquée à tout moment suivant le bon vouloir du BOA. Les tentatives d’enlèvement d’opposants en usant des services de police pour y effectuer des arrestations arbitraires sous des fallacieux prétextes se multiplient. Une équipe gouvernementale constituée des amis et des coquins de BOA de la pire espèce de prédateur (Mpouho-Mpili la vipère, Opianga-Ngoy la panthère ..) s’est mise en place pour faire la guerre aux gabonais.

Après les meurtres de Port-Gentil consécutif à son coup d’Etat perpétré en septembre 2009, après l’assassinat du président Pierre Mamboundou, la tentative d'assassinat de Mba Obame, le musellement de l'Union Nationale, les détournements financiers massifs, etc BOA s'en désormais à tous le monde y compris les membres de son propre camp.

La lettre de Boukoubi, si elle est vrai, en destination de ses affidés dévoile qu'il se prépare pour son limogeage et prends donc ses dispositions. d'ailleurs ce limogeage a été annoncé dans la lettre du continent N°679. Vu la justesse des revelations de média, qui a selon toutes vraisemblance au fait des secrets des Dieux, on peux estimer que Boukoubi se sait partant.




le droit moral revient à tous ceux qui s'opposent à BOA et sa légion étrangère
Pour la célébration en différé de l’anniversaire de leur parti, les trois énergumènes signataires de la note ci-joint n’ont pas pris de gants : chaque « camarade » est invité à débourser  la somme de 5 millions de francs CFA au titre de sa « contribution ».


vendredi 21 mars 2014

Prédation des finances publiques gabonaises; Ali Bongo Ondimba et ses quarante voleurs

Chers visiteurs de ce blog, les documents que je vous livre ci-dessous se passent de tout commentaires. Ils traduisent en tout cas l'adage "si les gabonais sont pauvres c'est parce que les dirigeants sont des voleurs et des ripoux". Regardez la légèreté et la facilité avec laquelle les finances publiques sont volées et se partagent entre les ripoux de la république des coquins.






mardi 18 mars 2014

Gabon : Vol et prédation des finances publiques par Ali Bongo Ondimba


La bonne gouvernance dont se targue Ali Bongo Ondimba,   arrivé suivant toute vraisemblance, par la force d’un coup d’état à la tête du Gabon est aujourd’hui mise à nu par la cessation de payement dont
Une somptueuse demeure à Nice; fruit de la prédation des finances publiques par Ali Bongo Ondimba
 souffre ce pays pourtant financièrement bien loti. En mémoire, selon la plus part des observateurs il n'a pas gagné l’élection mais plutôt pris le pouvoir par la force en bénéficiant du soutien à l’intérieur de  " l'état PDG" et à l'extérieur de solides soutiens français.

Près de 4 ans après cette prise de pouvoir il a installé un système de prédation des finances publiques à la tête du Gabon. Son exercice solitaire du pouvoir le confine à l’autocratie : aucun dialogue constructif avec les opérateurs socio-économiques, la société civile et les partis politiques sont niés et ignorés. Seul son directeur de cabinet et quelques copains naturalisés à la sauvette pour les besoins de sa cause comptent.

Sous le fallacieux prétexte de conduire le Gabon sur " le chemin de l'émergence " , vaste escroquerie politique aux contours douteux,  Ali Bongo a placé le Gabon sous la tutelle financière de son directeur de cabinet et gourou béninois Maixant  Accrombessi, ancien agent immobilier . La fascination qu'exerce ce béninois sur l’illégitime président du Gabon semble sans limite tant l'emprise de ce gourou maitre vaudou sur ce pays d'Afrique central qualifié par tous d émirats pétrolier, 2nd PNB/habitant, est totale.

Le document confidentiel d’une représentation diplomatique de Libreville conclut sur le budget 2014 du Gabon en ces termes :

" Le budget 2014 présente certains paradoxes :
-  accroissement des dépenses de grands travaux alors que leur coût s’est avéré trop lourd en 2013,
- opacité sur les dépenses sociales alors que le nouveau gouvernement nommé fin janvier a pour mission de réduire la fracture sociale,
- annonce d’un équilibre budgétaire alors qu’un déficit est prévu, voire quelques zones d’ombre (hors budget, répartition des dépenses d’investissement par ministères…). 

L’alourdissement de la fiscalité coïncide avec un renforcement inhabituel des contrôles fiscaux constaté par les entreprises au dernier trimestre 2013. Le recours plus marqué aux bailleurs de fonds multilatéraux amorcé mi-2013, ainsi que l’émission d’obligations internationales fin 2013 font partie des palliatifs mis en place tardivement face à une situation financière moins robuste constatée fin 2013.
 L’année 2014 devrait être un test pour l’économie gabonaise. Le budget 2014 permettra-t-il de liquider la dette intérieure et mener les grands travaux au rythme souhaité par le Président (sic) ? Les échéances des emprunts extérieurs seront-elles plus scrupuleusement respectées ? Dans la rue, comment réagiront les assujettis à l’Impôt Synthétique Libératoire ? "


Opacité dans la gestion du budget de l’Etat

Dans les faits, ce sont les zones d’ombre qui inquiètent le plus ce diplomate à la prudence avérée.

En 2012, le budget de l’Etat Gabonais a été arrêté en dépenses à 2.760 milliards de Fcfa (4.207.592.875,7525 euros) dans la Loi de finances rectificative. Dans celle de 2013, ce budget a été porté à 3.999 milliards de Fcfa (6.096.436.199,3241 euro), et en 2014 il est de 3.336 milliards de Fcfa (5.085.699.215,04 euro). Autant de chiffres qui finissent par ne plus rien signifier, tant ils sont énormes.

Le 19 décembre 2011, le Conseil des Ministres de l’Economie et des Finances de la CEMAC a adopté à Brazzaville, la Directive portant « Code de transparence et de bonne gouvernance dans la gestion des finances publiques ». Ce texte communautaire, qui s’impose donc au Gabon depuis 3 ans, défini les principes et obligations que les Etats membres doivent respecter, dans leur législation comme dans leurs pratiques, en matière de gestion des fonds publics.

Sur le fondement de cette loi communautaire qui vient compléter la Constitution Gabonaise, le citoyen a le droit d’être informé de l’usage des deniers publics. Par conséquent il ne peut lui être opposé aucune confidentialité, aucun secret d’Etat. Mais au Gabon, c’est tout le contraire. Depuis que l’Union Nationale a découpé en petits morceaux le projet de budget 2010, obligeant le Pouvoir à venir s’en expliquer sur la place publique, les communiqués des Conseil des Ministres sont devenus particulièrement laconiques lorsqu’il s’agit de l’adoption du projet de loi de finances. 


Nous avons pris le temps de rechercher, tant l’information est introuvable pour le commun des Gabonais, les budgets 2012, 2013 et 2014 pour mieux comprendre ce qui s’y cachait.

En première observation, nous pouvons déjà affirmer qu’Ali Bongo a bel et placé le Gabon sous la tutelle financière d’Accrombessi, assisté de quelques directeurs généraux du ministère des finances , principalement les responsables du Trésor Public et de la direction générale du Budget . Ceux-ci ont mis en place un schéma de prédation des finances publiques.

Un Schéma de prédation des finances publiques « bien huilé »

Des projets bidon

Pour détourner l’argent publique des projets bidon sont créés. Ainsi, à travers une rubrique appelée "Projets transversaux", anciennement dénommée charge communes, d’importantes ressources budgétaires sont confiées à la gestion exclusive de ces trois personnages.

En 2012, les "Projets transversaux" représentaient plus de 220 milliards de Fcfa (335.387.837,8223 euros).

Ce montant a été porté à plus de 261 milliards de Fcfa en 2013 (397.891.934,9896 euros), 

En 2014, tenez-vous bien, il est de plus de 1428 milliards de Fcfa (2.176.971.966,1502 euros).

 En cette année 2014, aucun ministère ne dispose de son Budget d’Investissement. L’ensemble du Budget d’Investissement de l’Etat, à l’exception des Institutions Constitutionnelles, est directement administré par Accrombessi. De la même manière, l’ensemble des subventions publiques sont-elles directement gérées par le même trio. C’est dire combien le Gouvernement a les moyens de son action.

Des crédits budgetaires réels pour des investissements fictifs

Sur le contenu, chaque année, on inscrit au budget des sommes importantes affectées à la réalisation d’investissement, et les Gabonais ne voient rien. Où va donc cet argent ?

Prenons quelques exemples parmi d’autres de ces crédits budgétaires qui sont gérés depuis la Présidence de la République par le tout puissant Directeur de Cabinet assisté des directeurs généraux du Trésor et du Budget qui y ont quasiment élu domicile :

•    En 2012, 3,75 milliards (5.716.838,1464 euros) avaient été affectés à la construction de deux terrains de golf. L’un à la Pointe-Denis, l’autre à la Cité de la Démocratie. Au-delà du ridicule de ces choix d’investissement, les Gabonais sont en droit de savoir où est parti cet argent puisque les deux terrains de golf n’existent toujours pas.

•    Les seules études sectorielles pour le plan stratégique Gabon émergent se sont vu octroyer 5 milliards de Fcfa en 2011 (7.622.450,86 euros), 6 milliards (9.146.941,0342 euros) en 2012 et 9 milliards (13.720.411,55 euros)  en 2013, soit 20 milliards de Fcfa (30.489.803,44 euros) au cours des 3 dernières années. Le pouvoir dit émergent peut-il rendre compte de l’usage qui a été fait de ces ressources ?

•    Dans une rubrique intitulées " Provision pour dépenses d'investissement", on retrouve 3,8 milliards de Fcfa en 2012 ; 37,4 milliards de Fcfa en 2013 et 47,2 milliards de Fcfa en 2014, soit au total 88,4 milliards de Fcfa en 3 ans. Pour quel usage ?

•    Dans le Budget 2014, on retrouve 87 milliards de Fcfa affecté au "Programme National d'appui à l'industrialisation".

Et des exemples de cette nature sont nombreux. Sur le seul budget 2014, plus de 485 milliards de Fcfa de projets et autres subventions conduisent aux mêmes interrogations.

Aux détournements massifs s’ajoutent des dettes odieuses

Et comme si cela ne suffisait pas, le détournement massif des ressources du pays s’accompagne d’un endettement excessif.  Le 30 juin 2009, la dette publique du Gabon était de 1320 milliards de Fcfa. Elle est passée à plus de 2870 milliards à fin 2013, soit plus du double en 4 ans. Ceci alors que dans le même temps, les paiements au titre du remboursement de la dette ont représenté plus de 2.395 milliards de Fcfa en 4 ans. Il serait à ce titre important de savoir auprès de qui le Gabon s’est-il endetté ces dernières années.

Voilà le Gabon tel qu’il se présente aujourd’hui.

Tous les observateurs estiment aujourd'hui que le Gabon est quasiment en cessation de paiement, L’agence d’informations financières Bloomberg a émis une alerte à cet effet le 26 février 2014. Les griots habituels de la présidence de la république sont venu immédiatement démentir sans convaincre personne.

Mais tout de même comment expliquer avec un tel niveau de recettes induit par un baril de pétrole qui flirte ces dernières années constamment autour 100$ ; comment comprendre que ce pays d’à peine 1,5 millions d habitants puisse être dans une telle situation financière qui dans les faits se caractérise désormais, par des emprunts onéreux à court terme et par des tentatives "chantages fiscaux " digne des états voyous ( cf. L affaire Total) . 

Par comparaison, des pays comme le Congo Brazzaville ou la Guinée équatoriale tous de pays pétroliers du golfe de Guinée à l instar du Gabon sont devenus des pays prêteurs à d autres états africains d une partie infime de leur réserves financières, ce fut récemment le cas lorsque le Congo a prêté 100 milliards de francs à l état de Côté d Ivoire ! 
Quant à l Algérie profitant de la période haussière du baril elle a remboursé l intégralité de sa dette extérieure.

Ali bongo ondimba privilégie  les achats de résidences à l étranger pour des sommes astronomiques , d'avions privés , les tour du monde incessants et est partisan du " développement par les mondanités " ( cf le Huffingtonpost ) . Cynique , il vient de décider de réduire les primes de certains fonctionnaires pour....raison d'économies ! 
Le peuple gabonais et la communauté internationale est en droit de se demander Où va l’argent du Gabon ?

Un tel vol organisé des finances publiques, de la corruption généralisée nous invite, nous gabonais, à exiger le depart immédiat du pouvoir aux fins d'être jugé pour toutes ces makversations.

1€= 655,9570 XAF Francs cfa d’afrique centrale


vendredi 7 mars 2014

Bongo-Ondimba Ali le Sarkozycus Imperator: Prédateur public N°1

Un prédateur qui protège des assassins est un assassin et celui
qui s'affiche avec un tel assassin est un complice présumé
A la demande des Gabonais Libres de Bruxelles (en tant que capitale de l'Europe) je publie cet article.
Bonne lecture.
JN

Candidat aux élections présidentielles en violation de la Constitution, poussé par la soif du pouvoir absolu et la puissance coloniale, intronisé par l’Imperator Sarkozy, l’autoproclamé roi-président gabonais n’a jamais défendu son pays, mais uniquement servi ses intérêts et ceux des étrangers et Franc-maçons à qui il a prêté le serment d’allégeance.

Gabriel EKOMIE ami d'Ali Bongo Ondimba criminel rituel
sous la protection du dictateur il a été dernièrement libéré par sa justice sur ses ordres
Alors qu’il arrive au terme de son mandat usurpé dans moins de trois ans, il apparaît plus préoccupé par la prorogation de ses pouvoirs et par la corruption des opposants, par les pots de vins des groupes étrangers à qui il brade le pays, que pour aider à résoudre les problèmes de ses concitoyens. Sa dernière trouvaille : mettre en difficulté fiscale les opérateurs économiques et les entreprises qui apportent un peu de lumière et d’espérance dans la sombre vie miséreuse de gabonais. A cette soif d’argent il ajoute les fonds communs des fonctionnaires et les salaires des nombreux fonctionnaires fantômes pourtant identifiés mais qui continuent à émarger au budget de l’Etat. Les immenses budgets d’investissement depuis quatre ans n’ont produit que des maquettes et des études non payées. Les nombreux voyages aussi inutiles que superflus n’ont servi qu’à satisfaire les appétits gargantuesques et la soif de gloriole de cet enfant gâté. Les évènements loufoques organisés avec l’argent du contribuable et qui n’ont pour effet que de remplir les poches de ses amis prédateurs étrangers et les crimes rituels qu’il pratique et qu’il soutient viennent compléter cette liste sombre de son passif à la tête du Gabon.
Des ossements humains découverts chez
un exécuteur des basses œuvres du BOA

Une victime de la boulimie
des crimes rituels du régime Bongo-Ondimba Ali (BOA) à  Port-gentil
Un opposant torturé et assassiné par le régime Bongo-Ondimba Ali,
Étudiant en 2e année Chimie-Biologie-Géologie (CBG)
à l’université des sciences et technique de Masuku (USTM),
Garcia Moanda Boulingui a été retrouvé mort le 3 janvier,
le corps en lambeau, entre les rails sur le pont de l’Ogooué
lire .http://gabonreview.com/blog/quest-il-arrive-a-garcia-moanda-boulingui/

Une mère qui pleure sa fille victime des crimes rituels
des assassins d'Ali Bongo Ondimba
 Il est bien connu cet adage des Gabonais qui dit que « le caïman ne mange pas les poissons de son propre marigot» seul une espèce crocodilienne impressionnante vivant à l’ère du jurassique le faisait : Le sarkozycus imperator. A l’image de ce prédateur public numéro un, BOA n’épargne personne et s’accapare de tout, il est président de tout, chef de tous et finalement responsable de rien : Les postes-clés dans la haute administration sont en effet occupés essentiellement par des hommes et des femmes qui lui sont directement liés. BOA contrôle la Primature, l’Assemblée nationale, le Sénat, le Conseil Economique et Social (CES), il n’accepte même pas de partager le pouvoir avec un autre parti membre de sa « Majorité présidentielle ». En plus des institutions citées ci-dessus, il y a aussi les hauts postes de l’administration centrale réservés apparemment aux seuls amis du Sarkozycus Imperator : secrétaires généraux de ministère et adjoints, directeurs généraux et adjoints, directeurs centraux et adjoints, chefs des corps armés et officiers subalternes, chefs de mission diplomatique et diplômâtes
Que dire des responsables de l’administration et du secteur parapublic ? Rien n’échappe à la boulimie du prédateur public N°1.
En effet, le Bureau Politique du PDG nommé par le sarkozycus imperator compte parmi ses membres :
1/le directeur général du Budget,
2/le directeur général du Contrôle des Ressources et des Charges Publiques,
3/le directeur général de l’ANINF,
4/le directeur général de la Caisse de Stabilisation et de Péréquation (CAISTAB),
5/le directeur général de la Caisse nationale d’Assurance Maladie et de Garantie Sociale (CNAMGS),
6/le directeur général de l’Office des Ports et Rades du Gabon (OPRAG)
7/Président Directeur Général de La Poste S.A,
8/ L’Agence nationale des grands travaux
 
Les bicoques de l'émergence en
quatre ans de pouvoir absolu
D’autres sont des membres nommés par le dictateur au Conseil national du Parti démocratique gabonais, sont :

9/ le directeur général du Conseil Gabonais des Chargeurs, du directeur général de la Compagnie nationale de Navigation intérieure (C2N2I),
10/ le directeur général de la RTG1 (et administrateur provisoire de Gabon Télévision),
11/ directeur général adjoint chargé de la Radio,
12/ du directeur général de l’Agriculture
 13/ directeur général des Impôts.
Cette liste n’est pas exhaustive, car il faut ajouter les agences non gouvernementales qui sont en fait un gouvernement bis sous la responsabilité directe d’Accrombessi, Premier Ministre de fait du Gabon.
Les riches immeubles de Bongo Ondimba Ali
un des fruits de sa rapine des
deniers publiques en quatre ans de prédation.
Loin de l’Eta-PDG d’Omar Bongo-Ondimba, qui distribuait les postes suivant une géopolitique étriquée et partisane, reposant sur des parrains à la tête de chaque province, nous sommes en fait, sous le régime de son fils adoptif à une personnalisation du pouvoir d’Etat et de son administration : C’est une autocratie.

En somme, pour être nommé à une fonction de premier plan, il faut faire allégeance à BOA ou, à tout le moins, s’y encarter dès que l’on est appelé à occuper un poste. Avec une administration qui dépend du seul autocrate comment peut-on parler du sens de l’Etat et son esprit d’impartialité. La personnalisation et la politisation excessive de l’Etat effectivement nuit au bon fonctionnement de l’administration, car elle lui fait perdre l’essence même de son existence fondée sur l’égalité des droits devant tous les citoyens.

Dans le Gouvernement qu’il vient de nommer, le Sarkozycus Imperator n’a permit d'y siéger que deux ministres (Fidèle Mengue m’Engouang et Brigitte Mba Anguilet) qui ne sont pas de son sérail diabolique. De même un responsable du CLR, parti de «l’oncle d’occasion pressée» nommé ministre de… l’Egalité des chances. Des postes de moindre importance que l’on pourrait taxer, pour reprendre les mots de Calixte Belaya, de poste « alibi » pour justifier une imposture.
Exit l’Etat-PDG à la place l’ETAT-BOA est réel et bel et bien en place ! L’Etat Bongo-Ondimba Ali n’a pas lieu d’être au Gabon.

Les initiales du nom de ce dictateur B.O.A sont prédestinées, un adage Nzébi dit que "le nom de quelqu'un est toujours à côté de son caractère". Il s'appelle BOA du nom d'un reptile du même nom, un prédateur sournois et avide parmi les prédateurs. Pourquoi être surpris par ce caractère de tueur sans pitié qu'il a, un caractère de serpent, sournois et impassible.
BOA comme Bongo-Ondimba Ali:
même nom même caractère, prédation extrême
 Les scientifiques qui ont donné le nom Sarkozycus Imperator à ce prédateur ne se sont pas trompés. Ils ont certainement pensé à l’ex-président français Sarkozy. La rapacité et la prédation, en tout cas le gout du pouvoir au point de se prendre pour un empereur de la France, de l‘Europe et de l’Afrique a probablement prévalu. Il a produit des créatures, «Sarkozycus imperator brutino » comme BOA, qui gouvernent des peuples contre leurs volontés.

Les Gabonais Libres de Bruxelles (capitale de l’Europe) se mettent en ordre de bataille pour casser cet ordre maléfique du serpent.

Nous nous unirons à tous les gabonaises et tous les gabonais qui s'inscrivent dans cette dynamique du changement.

Les Gabonais Libres de Bruxelles

lundi 3 mars 2014

UNE DYNAMIQUE POUR SAUVER LE GABON

Chers gabonais libres et partisans de la libération du Gabon
Chers patriotes
Chers amis

La situation au Gabon prend une tournure inquiétante aussi bien dans la folie destructrice et autodestructrice d'Ali Bongo que dans la misère du peuple gabonais qui voit chaque jour la dictature de cet homme se départir des droits des plus élémentaires des gabonais.

Les urnes au Gabon ne sont qu'un leurre et une piraterie légalement soutenue par des institutions aux ordres. L'usage inconsidéré des deniers publics et le maintien d'un gouvernement dont les membres sont notoirement connus pour leur allégeance à ABO confirment que les élections présidentielles de 2016 seront tout sauf des élections démocratiques, libres et transparentes.

Devant cette situation des réflexions multiformes et des stratégies diverses ont été mises en œuvre, mais je suis au regret de constater qu'aucune action concrète ne s'est traduite sur le terrain par des actes décisifs qui pourraient ébranler le système et surtout l'édifice de fraude électorale institutionalisée.
L'objectif de tous les gabonais actuellement est de faire partir Ali Bongo du pouvoir qu'il usurpe depuis 2009 et bâtir une démocratie ou le bulletin de vote reprend son pouvoir. Il est basé sur la souveraineté nationale, l’indépendance économique par la diversification de la production agricole, minière, la suppression des privilèges, le développement de l’industrie, la nationalisation des services publics, la lutte contre la corruption et l’impunité, la justice sociale avec la défense des travailleurs et la protection du peuple gabonais et de tous ceux qui vivent au Gabon dans le respect de nos lois, nos us et coutumes, bref de notre condition de peuple gabonais libre et souverain.

Pour cette grande œuvre, il faut réunir des efforts qui, dispersés, restent stériles. Nous n'avons pas la prétention de dire que la piste, qu'indique l'UPG, est la meilleure en soi et qu'il faut la suivre. Il y a mille manières de faire qui sont aussi bonnes, mais il s'agit d'abord de créer une unité féconde des volontés et des cœurs. Vous en conviendrez avec moi, qu'il y a dans toute société autant d'éléments de discorde que de membres, car chacun arrive avec l'étroitesse de son égoïsme. Les conflits, les intelligences, l'incurie universelle, en cour au sein de l'opposition gabonaise, de la société civile et de la diaspora désagrègent la cause du bien commun et donc de la mission à remplir en vue de ce bien commun. La médiocrité des chefs actuels de l'opposition gabonaise et de certains leaders de la diaspora décourage les bonnes volontés et éteint les enthousiasmes des gabonaises et des gabonais. Ces structures s'épuisent en efforts juxtaposés qui, non seulement se neutralisent mais finissent toujours par aboutir à un échec d'autant plus décevant que la bonne volonté de tous y était totale, échec dont Babel et la cour du roi Pétaud sont les images les plus populaires en tout cas symptomatiques à cet égard.
La lutte du peuple gabonais pour sa libération présente actuellement un visage de désagrégation: Les meilleures volontés se divisent, les énergies les mieux trempées se détendent, la conséquence c'est des frictions à n'en plus finir et finalement c'est l'effritement, la résignation du peuple par la mort de sa combativité et finalement de son âme.
En définitive ma conviction est que pour unir efficacement les gabonais en vue de chasser l'usurpateur criminel, il faut une coordination féconde bâtie sur le principe de l'unité et de la cohésion. Celle-ci doit-être capable d'exprimer et d'offrir à notre peuple une autre vision de la lutte pour le bien collectif, mais aussi capable de les entraîner et de les encourager à poursuivre l'atteinte de cet objectif.
Dans cette optique je vous propose un cadre de réflexion inter gabonais à Bruxelles avant le 02 avril 2014 (29-30 mars 2014). Cette rencontre sera basée sur le devoir de toutes les gabonaises et tous les gabonais de sauver le Gabon d’une dictature qui vend le pays en petit morceaux, oppose les ethnies aux autres, divise les gabonais, installe des extrémistes religieux au Gabon, paupérise notre population, détruit notre économie, siphonne nos finances, vampirise notre peuple par la pratique des crimes rituels.
Cette rencontre doit être un lieu où nous devrons trouver l’action déclencheur pour chasser l’usurpateur. C’est le devoir le plus légitime de toute gabonaise et de tout gabonais, c’est pourquoi elle se veut sans exclusive et uniquement animée par la volonté de tous de sauver le Gabon.
Je vous offrirai le cadre de cette rencontre.
Je vous inviterai dans les jours qui viennent à vous y inscrire.

Que Dieu bénisse le Gabon
Patriotiquement
Jean NDOUANIS