Perspectives

mercredi 30 juillet 2014

Mise au point sur la campagne de calomnie à l'endroit d'André Bouassa


André Vincent Bouassa, coordinateur Continental des Amériques
Premier Conseiller auprès du Premier secrétaire Politique Adjoint aux relations extérieures
J'aimerai d'abord préciser à tous qu'André BOUASSA a toute ma confiance et je lui fait totalement confiance dans les actes et initiatives qu'il prend et dans celles que nous menons de façon concerté pour le bien de notre pays. Pour son passage à l'ambassade du Gabon à WDC il m'avait informé pour ses opérations d'établissement de passeport, car nous savions d'avance l'interprétation qui devrait en être faite. C'est son droit de citoyen gabonais de se rendre à une représentation  diplomatique de son pays pour se faire établir des documents. Quand bien même serait il passé à l'ambassade du Gabon pour d'autres raisons rien ne permet d'affirmer que c'est pour y recevoir l'argent de qui que ce soit.



Ensuite, Monsieur Bouassa est chef d'entreprise, au delà de sa vie politique et familiale, il a un agenda professionnel auquel le régime BOA et ses excroissances extérieures ne sont nullement impliqués. Ce n'est certainement pas les élucubrations d'un gabonais mafieux et dealer de drogue qui fait honte aux gabonais de l'extérieur, et à tous les gabonais d'ailleurs, qui vont changer quoi que ce soit à ma confiance en Bouassa André.




Enfin, Monsieur Bouassa est le coordinateur continental des Amériques, chargé de la diaspora gabonaise Amérique et Premier conseiller du PSPA aux relations extérieures, il est de son devoir, et cela rentre dans ses attributions, de prendre contact aussi bien avec les gabonais, les autorités diplomatiques du Gabon qu'avec les autorités politiques, gouvernementales, les ONG, les parlementaires et les opérateurs économiques des pays dont il a la charge de représenter l'Union du Peuple Gabonais. 

Ce qui est malheureux et on peut le comprendre c'est que ces missions diplomatiques représentent plus le régime Ali Bongo que le Gabon et les gabonais. Mais il importe que les représentants de ce régime sachent que les gabonais sont désormais organisés par une représentation de l'Union du Peuple Gabonais qui défend les intérêts des gabonais de la diaspora et que celle-ci les tiens à l’œil et au pas.


En tout état de cause, des consultations que j'ai eu de la part des uns et des autres me confirment que les allégations de ce compatriote, inscrit pour la plus grande honte des Gabonais, au chapitre du grand banditisme, ne sont pas dignes de foi. Cela relève d'une entreprise de sape et d'injures contre les représentants de la nouvelle direction de l'UPG orchestrée par l'ancienne direction du parti. un duo de serpent que je ne citerai pas ici pour ne pas leur donner la plus fine importance. 


Cette campagne, dont moi-même, le Président de l'UPG et maintenant André Boussa, après que les Dr Itsana et Mourou eurent droit eux aussi à leurs exhalaisons putrides et nauséabonds, est la parfaite illustration des personnes en totale déconnexion avec la réalité. Des personnes qui ont perdu tout sens de la mesure et du débat politique pour faire de l'invective et de l'injure des armes politiques. Dans un débat intellectuel ces armes sont des armes des faibles, en effet en panne d'arguments pour soutenir le débat des intelligences le faible n'a d'autre choix que l'injure, la menace, la médisance.

En définitive je citerai un proverbe africain qui dit ceci:"On ne jette la pierre que sur un arbre qui a des fruits". C'est parceque nos contradicteurs savent que nous portons l'espoir et le salut du Gabon qu'ils nous insultent en fuyant le débat. C'est pourquoi nous ne rentrerons pas dans ce jeu qui consiste à distraire et à détourner les gabonais des véritables préoccupations du peuple: Abattre le régime d'un autocrate mafieux entouré d'une horde d'étrangers qui détruit le Gabon, instaurer une démocratie véritable, lutter contre la pauvreté, la maladie et la misère, détruire la corruption instaurer une véritable justice sociale, un justice libre et indépendante etc. Si ces personnes qui font de la calomnie et de l'injure leurs armes politiques étaient conscientes de l'importance de la lutte que nous menons ils devraient saisir l'opportunité de s'allier à nous. Mais il est clair que leurs préoccupations se retrouvent de fait identiques à celles du régime que nous combattons; ils sont donc leurs alliés objectifs. Il revient aux gabonais de n'accorder aucun crédits à leurs élucubrations.

Pour ma part ce débat n'a pas lieu d'être car il n'en est pas un. André Bouassa ne doit plus répondre à ces provocations. Ce mercenaire à la solde de qui l'on sait veut juste l'énerver et voir jusqu'où il ira. Nous avons la victoire c'est TOUT et nous continuons la lutte sous les enseignements de Pierre Mamboundou. Je demande donc à André de garder son calme comme d'habitude.
André étant un croyant ce serait pas de trop si je l'invite à méditer sur quelques versets bibliques qu'il connait.

Prov. 18 : 2 "Ce qui intéresse le sot n'est pas de comprendre mais de faire étalage de son opinion" 
Prov.12 : 1 "Celui qui accepte les reproches aime s'instruire. Il est stupide de détester les critiques" - 
Prov.24 : 5-8 "La sagesse d'un homme fait sa force, l'expérience augmente son pouvoir. Ne part pas en guerre sans en avoir délibéré, car un grand nombre de conseillers assure la victoire. Les données de la sagesse sont inaccessibles à l'imbécile. Qu'il ferme la bouche quand on discute des affaires publiques" !

Sur ces termes de sagesse je vous réitère à tous mon parfait engagement pour la libération du Gabon et ma solidarité envers tous les gabonais devant l'autocratie mafieuse qui se départi de nos libertés et de nos richesses.

La lutte continue
Jean Ndouanis
PSPA aux relations extérieures

jeudi 17 juillet 2014

Discours du Président Moukagni-Iwangou à l'occasion des 25 ans de l'UPG


Le Président
de l’Union Peuple Gabonais

 
UNION DU PEUPLE GABONAIS
 
 



 


 
Excellences,

Mesdames et messieurs les premiers responsables des Partis politiques, pris en vos qualités respectives,

Mesdames et messieurs les membres du Bureau Exécutif de l’Union du Peuple Gabonais,

Mesdames et messieurs les responsables de la société civile,

Militantes et militants des forces du changement,

Distingués invités,

Mesdames, messieurs,

Au nom des militantes et militants de l’Union du Peuple Gabonais et en mon nom propre, je voudrais vous remercier d'avoir honoré de votre illustre présence la célébration du 25ème anniversaire de notre Parti.

Au-delà des simples convenances protocolaires, vous marquez de manière claire et vous exprimez avec éloquence, sinon un attachement, à tout le moins une reconnaissance aux valeurs d’unité, de responsabilité et de dignité, sous le sceau desquelles, Pierre MAMBOUNDOU a inscrit devant la postérité cette œuvre dédiée au Gabon.

Plaçant mon propos  à ce niveau de pertinence, vous avez bien compris qu’en ma modeste personne, ce sont vingt cinq ans de lutte dont je voudrais porter témoignage devant vous, en ce jour du souvenir.

 Dans l’unité des cœurs, il nous appartient de célébrer nos illustres devanciers, qui ont payé du prix de leurs vies la conviction légitime d’avoir simplement rêvé à une meilleure gouvernance de leur pays.

Pierre MAMBOUNDOU MAMBOUNDOU, DOUKAKAS NZIENGUI MUKWATY, Martine OULABOU MBADINGA, Joseph REDJAMBE ISSANI, Dieudonné Pascal NDOUNA OKOGO, Germain MBA, et bien d’autres encore sont le levain qui fera monter à jamais notre engagement résolu pour le triomphe du combat juste, c'est-à-dire le combat du développement, celui-là même qui partage la prospérité et garantie l’équilibre et la paix sociale,  celui-là même qui protège la liberté et pourvoie à l’épanouissement de l’homme.

En vérifiant que ces thématiques charpentent toutes les chartes et conventions qui pourvoient à la citoyenneté internationale, et en constatant que notre pays attache un prix à adhérer à toutes ces normes qui lui sont donc parfaitement opposables, le devoir de vérité commande de questionner la responsabilité de notre Etat face à ces familles endeuillées à jamais, et le devoir de mémoire commande de réconcilier définitivement la Nation avec toute son histoire.

Principalement écrite à ce jour soit pour glorifier l’action civilisatrice du mouvement colonial ou pour glorifier le magistère bienveillant des timoniers divers, notre histoire doit désormais consacrer une page de lumière, pour enseigner au monde entier qui mérite de le savoir, que notre pays a réalisé des marges de progression à partir du sang libérateur de ses enfants.

 Mesdames, messieurs,

Nouvellement porté aux responsabilités, avec mission de prendre en main la conduite d’une charge particulièrement éminente, le principe de précaution inclinait à observer un bénéfice d’inventaire, pour dresser un état des lieux à partir des repères pertinents.

En nous entourant des avis les plus autorisés, dont je dois humblement saluer la contribution qualitative, prélude à une réflexion plus profonde, notre questionnement appelait à jeter un regard croisé sur l’état de la Nation.


Sous la foi de leurs analyses respectives, j’ai retenu beaucoup de choses, qui s’inscrivent dans le sens d’enrichir notre offre politique.

Pour revenir sur les passages les plus marquants, j’ai noté que :

Le Président Moussavou King nous a invités à nous émanciper des peurs ;

Monsieur Pierre Amoughe Mba nous a questionnés sur la nouvelle mission à assigner à l’école après l’œuvre d’assimilation qui a marqué l’ère coloniale ;

Monsieur Jacques Adiaheno nous a révélé qu’il y a des démocrates sincères au Parti Démocratique Gabonais ;

Le docteur Jean Romain Mourou nous a démontré que le corpus légal en vigueur ne permet pas de réaliser l’alternance par les voies démocratiques.

En m’invitant sur ce questionnement, j’entends parler de la République, cette bonne mère, qui appartient dans sa totalité à chacun de ses enfants, investi comme d’un droit naturel à un droit d’inventaire sur cette chose commune à tous.

Pour être pertinent, tout regard doit d’abord être une introspection, qui conduit à s’observer soi-même d’abord, avant de se projeter à l’extérieur.

Mesdames, messieurs,

Les 6, 7, 8 et 9 juin 2014, l’Union du Peuple Gabonais a tenu son premier congrès ordinaire.

Au sortir de ce congrès historique, notre horizon politique est désormais bien dégagé.

L’occasion de cette cérémonie m’offre l’heureuse opportunité d’adresser nos remerciements fraternels à tous ceux qui sont venus nous assister, en même temps que je dois exprimer toute notre confusion, à l’endroit de nombreux d’entre vous, en parfaite communion avec nous, avez désisté en dernière minute, sous la foi d’un message trompeur.

Chers amis,

 Veuillez trouver dans ces mots, l’hommage mérité de notre reconnaissance pour votre amitié, renouvelée de fort belle manière ce jour.

Mes remerciements doivent aussi aller à l’endroit de Monsieur Mathieu MBOUMBA NZIENGUI, notre Secrétaire Exécutif de l’époque, pour avoir eu la lucidité de convoquer cette instance fondatrice d’une nouvelle espérance pour notre Parti, qui s’est assumé pleinement devant l’histoire.

Parce que toute légitimé appartient au Peuple, le mérite de ce mouvement revient résolument aux militantes et aux militants de l’UPG, qui, avec détermination,  ont résolument décidé de reprendre sur eux leur pouvoir, parce qu’il leur appartient.

 Fondant leur action dans les dispositions du préambule de notre Règlement intérieur, qui indique clairement, je cite « Aucun militant, quelles que soient sa qualité et ses fonctions au sein du Parti, ne peut, à titre individuel, être garant des adhérents, des institutions, des objectifs et de la philosophie de l’Union du Peuple Gabonais », ces militants ont administré à la face du monde, la plus belle leçon de démocratie.

L’histoire, qui s’écrit au présent a définitivement retenu, qu’au GABON, des hommes et des femmes ont pris leur responsabilité devant le Parti, avant certainement de la prendre demain devant la Nation toute entière.

Lancé urbi et orbi, afin d’être entendu en-dedans et en dehors du Parti, le message clair et déterminé des militantes et militants a été formulé pour faire amplement écho, et dire, qu’à compter de ce jour, aucune tribulation, aucune turpitude, aucun calcul ne pourront plus arrêter le Peuple dans son choix libre de déterminer souverainement son destin.

L’état de la nation, qui est l’agrégat de tous les indicateurs sociaux, gagne d’entrée à prendre en compte cet esprit nouveau qui se sédimente au cœur de la société.

L’état de la nation, c’est surtout la qualité de notre état de droit.

Avant moi, et avec talent, des personnalités éminentes de la société civile et de l’espace politique m’ont précédé pour nous partager de brèves réflexions sur des thèmes ciblés.

Prenant acte de leur constat, je voudrais leur savoir gré du mérite de leurs observations dont les conclusions ont vocation à enrichir notre connaissance du pays.

Mesdames, messieurs,

En accédant à la souveraineté nationale, le 17 août 1960, les pères fondateurs ont eu à répondre à un choix sur le système devant présider à la gouvernance de la cité.

 Entre la monarchie, qui établi le Peuple au rang de sujet placé sous la responsabilité du Prince, et la république qui renvoie la souveraineté à la nation, et traite les citoyens sur un rang d’égalité, les pères fondateurs ont choisi la République.

 La République qui est de ce fait un espace de pertinence partagée, se prête naturellement au regard libre et souverain des citoyens, sans que cela puisse faire débat.

Et c’est à cette analyse, que, pour perpétuer une tradition bien assise, nous allons à avoir à nous employer en toute objectivité, pour le bien de tous, le tout, selon le propos de Beaumarchais, qui rappelle que sans liberté de blâmer, il n’est point d’éloge flatteur.

Dans son regard sur la gestion de la cité, Pierre MAMBOUNDOU a eu cette réflexion aux allures sentencieuses, je cite : « lorsque j’observe mon pays, riche de ses potentialités, et pauvre de sa gouvernance, j’ai une larme dan le cœur à défaut de l’avoir dans les yeux », fin de citation.

Critiqué en son temps, sous le prisme toujours déformateur des considérations idéologiques, ce constat fait autorité, aujourd’hui plus encore qu’hier.

Le premier indicateur porte la marque d’un aveu des plus cinglants.

Dans une adresse à la Nation, le Chef de l’Etat lui-même s’était laissé aller à une diatribe, en concluant, je cite ; « Dieu ne nous a pas donné le droit de faire du Gabon ce que nous en avons fait. »

 Le second aveu est venu du cabinet McKinsey, dont le rapport a établi que depuis des années, aucun budget n’a jamais été exécuté à plus de 20%, et surtout, que toutes les aides destinés aux couches les plus défavorisées ne leur parviennent que très rarement.

Sauf meilleure lecture, ces constats opposables à un régime qui se succède à lui-même depuis 54 ans,  est le reflet cinglant de la mal gouvernance du Gabon, qui enrichit une élite, en totale rupture avec le petit Peuple.

Ce constat qui questionne la qualité de notre gouvernance, invite à observer la charpente de nos institutions et l’efficacité de nos contre pouvoirs.

 Mesdames, messieurs,

 Alors que toutes les stratégies de développement conseillent la réduction du train de vie de l’Etat, afin de dégager des plus values pouvant être réorientés dans le secteur productif, l’érection et la démultiplication tous azimuts des agences nous parait de nature à surenchérir le fonctionnement de l’administration, toutes choses qui s’inscrivent à rebours de l’efficience prônée.

En signalant toutefois une évolution positive dans le traitement des procédures foncières, dont l’allègement offre un frémissement heureux, l’on s’interroge sur la préférence faite au recours à l’expertise étrangère, y compris dans des secteurs stratégiques dans lesquels le Gabon dispose pourtant d’un savoir faire local amplement avéré.

Au problème des moyens, l’érection des agences ajoute celui de l’étiolement de l’autorité de l’Etat, puisque lesdites agences réfèrent directement au Chef de l’Etat.

L’argument de l’efficacité, certainement à la base de ce dispositif, induit un mal autrement plus pernicieux, celui de l’irresponsabilité au plus haut niveau de l’Etat, entendu que le Chef de l’Etat ne répond pas personnellement de son action devant le Parlement.

Abordant ce pan de nos institutions, l’analyse nous invite à quelques observations.

Le principe est connu, pour dire que le Parlement représente la nation, dont elle traduit la volonté à travers les lois.

Plurielle par principe dans son expression, la nation gabonaise ne peut plus longtemps se prévaloir d’une chambre introuvable en guise de Parlement, dans un contexte général dans lequel la crédibilité de l’institution s’analyse à l’aune de la diversité culturelle et politique que doit refléter la représentation nationale.

S’agissant du Pouvoir judiciaire, qui est marqué du sceau de la séparation des ordres depuis la réforme de 1994, j’entends consacrer une analyse, qui sera programmée au lendemain du prochain conseil supérieur de la magistrature.

Dans cet intervalle, notre regard nous invite à observer la Cour constitutionnelle, dans sa structuration et dans son fonctionnement.

 Sans faire dans la dénonciation systématique, où à me livrer à la critique systématique de la plus haute juridiction du pays en matière constitutionnelle, le devoir de vérité sur l’état de la nation nous commande relayer au sommet les crispations prégnantes du Peuple.

Persuadé que, plus ça change plus c’est la même chose, le petit Peuple demande à comprendre pourquoi depuis sa création, la direction d’une juridiction pourtant marquée du sceau de la limitation de mandat, reste et demeure dirigée depuis 20 ans par la même personnalité.

 Nous gardant d’aller plus avant, au nom des convenances éthiques sur une question dont les tenants sont connus de tous, le moment est désormais venu pour tout le monde de jouer franc jeu.

 Mesdames, messieurs,

A l’heure où, en toute responsabilité, il nous revient de redessiner notre environnement commun, l’Union du Peuple Gabonais est prête à apporter sa contribution citoyenne à la définition des solutions véritablement républicaines.

 A leur convenance, les autorités de nomination sont ici interpellées pour décrisper un questionnement qui va, si l’on y prend garde, engager la sérénité et la crédibilité de la justice.

 Distingués invités,

Mesdames, messieurs,

 C’est à la faveur de ces observations, qu’il appartient à chacun de compléter par des développements plus amples, que je déclare close, la conférence citoyenne sur l’état de la Nation.

 

Fait à Libreville, le 14 juillet 2014

 

 

      Le Président

 

 

    MOUKAGNI-IWANGOU

 

 

Le nouveau bureau exécutif de l'UPG


Le Président
de l’Union Peuple Gabonais

UNION DU PEUPLE GABONAIS
    

Décision n° 002/UPG/PDT/CAB-2014

Portant Nomination des membres du Bureau Exécutif de l’Union du Peuple Gabonais

 
LE PRESIDENT

 
Vu la loi 24/96, du 06 juin 1996, relative aux partis politique ;

Vu le récépissé définitif n° 113/MATCLD/DAD/SAG du 30 septembre 1991, portant déclaration du parti politique dénommé l’Union du Peuple Gabonais (U.P.G) ;

Vu les statuts et le règlement intérieur de l’Union du Peuple Gabonais (U.P.G) ;

DECIDE

 Article 1/-.La présente Décision, prise en application des Statuts et Règlement Intérieur de l’Union du Peuple Gabonais (UPG), porte nomination des membres du Bureau Exécutif.

 Article 2/-. Les personnalités ci-après désignées aux postes de Premiers Secrétaires Politiques, reçoivent les nominations suivantes :

Premier Secrétaire Politique chargé de la Santé, de la Sécurité Sociale, de la Coordination générale, de la Réconciliation, de la Reconstruction du Parti
MOUROU MBINA Jean Romain.

Premier Secrétaire Politique adjoint chargé des Questions électorales de la Formation du militant, de la coordination sectorielle de la province de la Ngounié, Porte parole 1.
IBINGA MBOUGHOU Thomas

Premier Secrétaire Politique adjoint chargé de l’Emploi, des Relations avec les Syndicats et les Forces ouvrières, chargé de la coordination sectorielle de la province de la Nyanga.
NGUIMBI MANGOALA Vincent.

Premier Secrétaire Politique adjoint aux Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication, chargé de la coordination sectorielle de la province de l’Ogooué Maritime.
IGOUWE Roger.

Premier Secrétaire Politique adjoint à la Défense et à la Sécurité, chargé de la coordination sectorielle de la province du Moyen Ogooué.
AGONDJO Roger.

Premier Secrétaire Politique adjoint à la l’Education et à la Formation, chargé de la coordination sectorielle de la province du Woleu Ntem.
MENVOLA Lily.

Premier Secrétaire Politique adjoint à la Protection des minorités, de la Veuve et de l’Orphelin, chargé de la coordination sectorielle de la province de l’Ogooué Lolo Porte parole 2.
NGOUSSI Pierre.

Premier Secrétaire Politique adjoint au Commerce, chargé de la coordination sectorielle de la province du Haut Ogooué.
BINGANGOYE Sylvain.

Premier Secrétaire Politique adjoint aux Relations Extérieures, chargé de la coordination sectorielle des Gabonais de la Diaspora.
NDOUANIS Jean De Dieu.

Premier Secrétaire Politique adjoint à la coordination de l’Action du Bureau Exécutif. Directeur de cabinet du Président.
YALA Sosthène Benoit.

Article 3/-. Les personnalités ci-après désignées aux postes de Secrétaires Politiques, reçoivent les nominations suivantes :
Secrétaire politique, Directeur de cabinet de Monsieur le Premier Secrétaire Politique
MOUNDOUNGA Thierry

Secrétaire politique chargé des Sports et des Loisirs
MBAMBET ITANDA Ignace.

Secrétaire politique à la Culture et à l’Intégration africaine.
DOUMINGOU Balthazar.

Secrétaire Politique aux Finances, Trésorier Général.
Georges BOULINGUI.

Secrétaire politique à la Mobilisation.
NZAMBA Aimé.

Secrétaire politique à l’Economie et à la Prospective.
KOUMBA PAMBOU Sosthène.

Secrétaire politique à la Recherche scientifique.
KOUMBA KOUMBA Daniel.

Secrétaire politique à la Jeunesse.
IKAPI Steeve. 

Secrétaire politique à la Communication.
Maëlle MANOMBA.

Secrétaire politique à la Décentralisation.
Ephrem OUTATA.

Secrétaire politique chargé du Commerce et des Petites et Moyennes Entreprises.
KOMBILA Hélène.

Secrétaire politique aux Eaux et Forêts.
MOMBO Marc.

Secrétaire politique chargé de l’environnement, de la Ville et de l’urbanisation.
DJIEMBI Siméon.

Secrétaire politique à l’Emploi.
AGBLA Gilles.

Secrétaire politique chargé de la Solidarité.
DO MARCOLINO Edith.

Secrétaire politique chargé des Mines et du Pétrole Porte parole 3.
MOUSSAVOU DOUKAGA Alphonse

Secrétaire politique chargé des Ressources Hydrauliques.
KOMBILA Parfait

Article 4/-. Les personnalités ci-après désignées aux postes de Secrétaires Politiques adjoints, reçoivent les nominations suivantes :

Secrétaire Politique adjoint, délégué auprès du Premier Secrétaire Politique, chargé de la Restructuration de la Coordination fédérale de la province de l’Estuaire.
BOUSSOUGOU Hugues.

Secrétaire Politique adjoint, délégué auprès du Secrétaire Politique à l’Emploi.
NDZELA MIKOLO

Secrétaire Politique adjoint, délégué auprès du Premier Secrétaire Politique adjoint, chargé de l’Education et des Télécommunication.
LEMAMI Martin

Article 5/-. Les personnalités ci-après désignées au Secrétariat Général de l’Union du Peuple Gabonais, reçoivent les nominations suivantes :

Secrétaire Général :
ITSANA Pélagie Marie Joselle.

Secrétaire Général adjoint, chargé de l’Administration.

BOUSSOUKA Modeste.
Secrétaire Général adjoint, chargé de l’Organisation des Manifestations Publiques.

NZAMBA Christian.
Secrétaire Général adjoint, chargé du Patrimoine

MOUSSIROU YEMBI.

Article 6/-. La présente décision qui prend effet à compter de sa date de signature, sera enregistrée au répertoire des décisions du Parti, notifiée aux l’intéressés et, publiée partout où besoin sera.

 

Fait à Libreville, le 14 juillet 2014

Le Président

 

 

MOUKAGNI-IWANGOU

 


UNION DU PEUPLE GABONAIS


Le Président
de l’Union Peuple Gabonais
Décision n° 003/UPG/PDT/CAB-2014


Portant Nomination des membres du Commissariat à l’Ethique, à la Discipline et à la Solidarité

de l’Union du Peuple Gabonais

 

LE PRESIDENT

 

Vu la loi 24/96, du 06 juin 1996, relative aux partis politique ;

Vu le récépissé définitif n° 113/MATCLD/DAD/SAG du 30 septembre 1991, portant déclaration du parti politique dénommé l’Union du Peuple Gabonais (U.P.G) ;

Vu les statuts et le règlement intérieur de l’Union du Peuple Gabonais (U.P.G) ;

Sur proposition du Commissaire Général à l’Ethique et à la Solidarité ;

 DECIDE

 Article 1/-.La présente Décision, prise en application des Statuts et Règlement Intérieur de l’Union du Peuple Gabonais (UPG), porte nomination des membres du Commissariat à l’Ethique, à la Discipline et à la Solidarité.

 Article 2/-. Les personnalités ci-après désignées au sein du Commissariat à l’Ethique, à la Discipline et à la Solidarité, reçoivent les nominations suivantes :

 

Commissaire à l’Education :

DIKOBOU KOMBILA François.

Commissaire à l’Environnement :

…………………………………………………………….

Commissaire aux Finances :

…………………………………………………………

Article 3/-. La présente décision qui prend effet à compter de sa date de signature, sera enregistrée au répertoire des décisions du Parti, notifiée aux l’intéressés et, publiée partout où besoin sera.

 

Fait à Libreville, le 14 juillet 2014

         Le Président

MOUKAGNI-IWANGOU

  

UNION DU PEUPLE GABONAIS

Le Message du Président

Chers amis,

 Je suis heureux de renouer avec tous et avec chacun, sur cette nouvelle plate forme dédiée à la reconstruction de l’Union du Peuple Gabonais (UPG).
De nombreux évènements ont marqué la vie de notre formation politique.

Le plus significatif d’entre eux a été la perte de notre Président fondateur, Monsieur Pierre MAMBOUNDOU, ce digne fils du Gabon dont le souvenir, à lui seul, est la parfaite boussole qui guidera à jamais notre marche en avant.

Sur la voie tracée par le Maître, il y a eu le premier Congrès du Parti, organisé du 6 au 9 juin 2014, dont la tenue a offert au Parti les ressorts nécessaires pour amorcer le nouveau départ.
Malgré les vents contraires, qu’il a fallu contourner avec délicatesse, le Congrès a été un grand moment d’échanges, et surtout, le lieu du partage autour d’une communauté de destins.
Ces séquences historiques, mais aussi l’actualité quotidienne, nous commandaient d’aménager un cadre d’échanges.
 Ce cadre d’échanges est désormais à votre disposition, et nous vous invitons à nous rejoindre.

 Nous attendons vos avis, vos soutiens, mais aussi vos critiques.
De manière naturelle, les invectives et les injures qui ne grandissent pas la démocratie seront systématiquement écartés.

 Pour perpétuer une tradition bien assise chez nous, nous vous souhaitons la plus cordiale des bienvenues, avec l’espoir, qu’en toute responsabilité, vous nous rejoindrez pour qu’ensemble nous puissions sauver l’UPG, et surtout, sauver le Gabon.

 

MOUKAGNI-IWANGOU